Prénom: Coraline

Age: 15 ans, bien qu'on lui en donne généralement 12 ou 13.

Sexe: Féminin

Ville d'origine: Lavanville

Nombre de badges: 0, Coraline n'a jamais et ne fera jamais la course aux badges.

Premier POKEMON acquis: Spinda

Equipe POKEMON: Mackogneur (lvl 59), Mangriff (lvl 53), Lucario (lvl 52), Spinda (lvl 46), Ursaring (lvl 36), Rafflesia (lvl 28). Cependant, beaucoup de ces Pokémons ont été entraînés par son père ou ses frères, ou encore ont été volés.

Autres POKEMON dans la boîte: Sablaireau (lvl 25), Rapasdepic (lvl 24).

Histoire:

« Maman... »

Sur les routes de Kanto, un petit garçon pleure, affalé dans l'herbe, tenant serré dans ses bras sa petite soeur, qui tient elle sa main appuyé contre son œil gauche, dont s'écoule beaucoup trop de sang. Encerclé par de nombreux Pokémon sauvages dont il peine à coller un nom sur les gueules béantes, il cherche des yeux ses parents, son grand frère et sa grande soeur. Lorsqu'ils avaient été pris en chasse par cette meute affamée, ils avaient été contrains de se séparer, et il ne les voyait plus à présent. Qu'allaient-ils devenir? Claire pleurait de douleur et de peur, et lui, il n'avait plus la force de se lever et courir. Pour aller où, de toute façon? Ils les rattraperaient, ils étaient bien plus rapides qu'eux. Il ne pouvait qu'ouvrir ses deux grands yeux bleus et fixer ces fauves de sa mine épouvantée. Il ne sait pas combien de temps ils restèrent là, Claire et lui, pressés l'un contre l'autre à attendre la mort qui les emporteraient bientôt dans son éclatant linceul blanc, mais après avoir poussé un cri lorsqu'un des Pokémon se prépara à se jeter sur eux, lorsqu'il rouvrit ses yeux qu'il avait fermés sous le coup de la peur, il vit le dos d'un homme. Les Pokémon s'en étaient allés en courant, alors que celui qui s'était jeté sur eux, blessé, gisait sur son flanc en poussant de pitoyables gémissements. Alors que l'homme dont la stature lui semblait aussi imposante que celle d'une montagne se tourna vers eux pour s'enquérir de leur état, il sombra dans l'inconscience, sa soeur toujours dans ses bras. Un coma forcé dont-il ne fut tiré que quelques heures plus tard. Et la première chose qu'il vit en se réveillant fut le visage ravagé de sa petite soeur, dont les cheveux blonds pendaient sur ses épaules, sans force. D'une voix faible, avec un sourire brisé, elle lui posa cette unique question:

« Tu vas mieux? »

La haine s'empara de lui.

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Les cloches du village résonnaient tristement alors que l'on enterrait en ce pluvieux jours quatre vies, ravies trop tôt par la mort impatiente. L'on avait retrouvé en faisant des recherches les corps de sa mère, son frère et son père. Le corps de sa soeur restait introuvable, mais pour tous, elle était morte, au même titre que si l'on avait retrouvé son corps. Tenant fort dans la sienne la main de Claire, dont l'œil gauche était masqué par un cache-oeil noir, il regarda les cercueils s'enfoncer lentement dans leur dernière demeure, et il du faire de son mieux pour ne pas pleurer, car qui aurait consolé Claire, qui sanglotait depuis la matinée, si ce n'était pas lui? L'homme qui les avaient secourus, un certain Guillaume qui était chercheur, il l'apprit plus tard, lui serrait l'épaule, sans doute pour le réconforter. Mais cet homme aussi grand qu'il était intelligent était gauche dans l'expression de ses sentiments, et il ne parvenait pas à faire passer cette compassion et cette tristesse qu'il ressentait à l'égard des deux orphelins. Personne ne savait ce qui avait pu pousser cette meute de Pokémon à attaquer sa famille, simplement partie se promener ce jour-là. Mais tout le monde pleurait la mort tragique de cette famille simple et aimable qu'était les Dailhan. Ils laissaient derrière eux deux enfants inconsolables. Regardant la terre commencer à s'amasser sur les cercueils de sa famille, il serra un peu plus la main de sa soeur dans la sienne.

« Elliot? »

Le Pokémon que Guillaume avait blessé avait été soigné et mit en examen. Il ne présentait aucun troubles, il était en bonne santé. Ils le relâcheraient dans les jours qui suivent.

« Tu vas bien, Elliot? »

Il n'entendait plus la voix de Claire. La haine, l'injustice. On leur avait tout prit. Que leur restait-il? Pourquoi ne punissait-on pas les coupables? Pourquoi, pourquoi? Lentement, cette haine s'installa en lui, et il ne pu plus bientôt voir que ce sentiment qui l'aveuglait. Ils payeront, les Pokémons. Il leur ferait payer de leur avoir prit leur famille.

Il se le jurait.

Bien des années plus tard, aux abords de Lavanville, région de Kanto.

« Justin, Andros, Coraline! Le déjeuner est prêt!

-On arrive, Maman! »

La jeune femme au cache-oeil ferma la fenêtre en souriant, posant le plat sur la table, alors qu'au même moment la porte d'entrée s'ouvrait sur les visages souriants de trois enfants. Le premier était un garçon d'une dizaine d'années, aux clairs cheveux blonds et aux yeux bleus. Il aidait son cadet, garçon turbulent au yeux verts à enlever son manteau, alors que la dernière, une toute petite fille aux immenses yeux bleus et à l'étrange marque sur la joue posait ses petites mains sur la table bien trop haute pour elle, curieuse.

« Papa va manger avec nous ce midi? Demanda-t-elle de sa petite voix flûtée.

-Oui, il a promis de venir. Il a presque terminé ce qu'il avait à faire, je crois.

-Oh, alors il va encore avoir besoin de moi?

-Encore un peu, ma chérie. Mais c'est presque terminé. »

Satisfaite de la réponse, la petite fille s'assoit à table avec l'aide de son prévenant frère aîné. Elle était heureuse, car leur père ne mangeait presque jamais avec eux. Il avait énormément de travail, et passait sa journée enfermé dans son laboratoire. Elle l'aidait quand il le lui demandait, se prêtant volontiers à ses expériences; Il lui avait dit que ça ne lui ferait pas mal, et il avait tenu sa promesse. Même lorsqu'elle subissait des expériences, elle ne ressentait qu'un petit picotement à sa joue! Coraline aurait fait n'importe quoi pour aider son père, qu'elle aimait de toutes ses forces. Alors même si ça avait fait mal, elle n'aurait rien dit et enduré la douleur, pour lui. Il fallait qu'il voit à quel point elle était forte! Soudain, la porte s'ouvre sur un homme haut en taille aux cheveux blonds et aux yeux bleus magnifiques. Coraline et Andros se lèvent de table malgré les protestations de leur mère pour aller serrer leur père dans leurs bras, qui se met à rire devant un tel élan d'affection.

« Et bien, fit-il en déposante délicatement les enfants sur leur siège respectif, prenant lui-même place aux côtés de son épouse, Vous m'avez l'air pleins de vie! Comment s'est passé votre matinée?

-Très bien! Répondirent en chœur les trois enfants. Leur père acquiesça doucement à cette réponse unanime, se tournant ensuite vers sa femme, qui leva un œil inquisiteur vers lui.

« Tu as bientôt finit?

-Bientôt, oui. Encore quelques petites vérifications et je pourrais tenter un premier essai.

-J'espère...Que ça marchera. Tu as passé tellement de temps sur ce projet...Et Coraline, elle...

-Ne t'en fais pas. Coraline ne souffrira pas, je préférerais me tuer que la faire souffrir. Il n'y a qu'eux qui souffrent dans cette expérience. Ce sera bientôt terminé, je te le promets. »

Le mot 'eux' avait été prononcé avec tant de dégoût que Coraline, tout en mangeant sa tartine, lança un regard interrogateur à son père. Du haut de ses presque cinq ans, elle ne pouvait guère comprendre tout ce qui se tramait dans le sous-sol de sa maison ni à quoi servaient les expériences auxquelles elle participait, mais elle sentait que la haine animait souvent son père lorsqu'il en parlait. Avalant tranquillement sa dernière bouchée, elle oublia cependant bien vite ce détail à la vue du plat de pâtes que sa mère avait posé sur la table.

n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n

Coraline avait cinq ans depuis trois mois, et se réjouissait que le soleil soit au rendez-vous en cette jolie journée de Mai. Alors qu'elle courait en sautillant à travers les bosquets verts qui bordaient le jardin de sa maison, elle entendit un bruit étouffé, et stoppa net sa course, fronçant ses fins sourcils. Uh? Qu'est-ce qui avait bien pu créer ce bruit? S'avançant avec la curiosité qui sied si bien aux enfants de cet âge vers la source supposée du bruit, elle écarta de ses petites mains les branches d'un buisson plus touffu que les autres, y découvrant avec surprise un tout petit Pokémon qui sursauta en s'apercevant de sa présence. Il devait être très jeune encore, avec pleins de taches oranges sur le corps et de drôles d'yeux qui la fixaient avec crainte. Il ne fallut pas longtemps à Coraline pour deviner qu'elle était tombée sur un Pokémon, comme il y en avaient dans le laboratoire de son père. Il ne les lui avait jamais montrés, mais elle les avait aperçu quelques fois, par hasard. Sentant soudain que le Pokémon devait être effrayé, la petite fille fouilla dans ses poches, et en récupérant un gâteau, le tendit avec précaution au petit être. D'abord surpris, ce dernier s'approcha prudemment, avec de saisir le biscuit et le renifler, pour finalement le grignoter. Coraline sourit à la vue de ce spectacle. Il devait être affamé, le pauvre petit! Où était sa maison? Il était peut-être perdu? Tournant sa tête de gauche à droite, elle finit par dire, ne sachant pas même si le Pokémon la comprendrait:

« Tu habites ici? »

Le Pokémon cessa de manger, la regarda un instant, avant de timidement faire 'non' de la tête.

« Ah...Tu es perdu, alors? »

Cette fois-ci, il hocha la tête, sans rien faire de plus.

« Ah, c'est un problème. Tu as un Papa et une Maman? Où ils sont? »

Le petit être orangé baissa tristement sa tête, et Coraline ouvrit de grands yeux. Il n'avait plus de Papa ni de Maman? S'asseyant pour mieux réfléchir, elle finit part conclure qu'elle ne pouvait pas laisser le bébé Pokémon ici. Il était tout seul et il allait mourir si elle le laissait, non? Il semblait avoir tellement faim. Le problème, c'est qu'elle ne savait pas si son Papa à elle voudrait bien qu'elle le ramène à la maison. Il ne voulait jamais qu'elle parle de Pokémons, n'y même qu'elle en voit. Retrouvant soudainement le sourire, elle fit, tapotant amicalement la tête du Pokémon:

« Alors c'est moi qui sera ta nouvelle maman. Je vais te chercher des couvertures et de la nourriture, tu restes là, d'accord? Je ne peux pas te prendre à la maison, parce que mon Papa ne voudra pas. Mais je viendrais te voir tous les jours. »

Sur ces mots, pleine de bonne volonté, Coraline se leva pour aller chercher ce qu'elle avait mentionné. Le petit Spinda la regarda s'en aller avec appréhension, pensant qu'elle ne tiendrait pas sa parole. Mais lorsqu'elle revint les bras chargés quelques minutes plus tard, il fut soulagé. Cette petite fille venait de lui sauver la vie, et il lui en serait éternellement reconnaissant.

n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n

Malheureusement pour Coraline et Spinda, Elliot Dailhan était non seulement un homme plein d'esprit et extrêmement intelligent, mais également très observateur. Au bout de quelques mois, il s'aperçut bien que quelque chose clochait dans l'attitude de sa fille. Il laissa ce petite manège durer pendant presque une année, avant de se rendre la nuit durant à l'endroit où sa petite dernière se rendait en cachette avec de la nourriture. Il y découvrit un Spinda endormi, et sa colère fut telle qu'il emmena le Pokémon endormi dans son laboratoire et l'y emprisonna. Le lendemain, ne voyant pas son ami dans sa cache habituelle, Coraline fut extrêmement triste. Elle préféra penser qu'il avait retrouvé ses parents plutôt qu'il s'était enfuit sans rien lui dire. L'après-midi, son père l'appela dans le salon, et la posa sur ses genoux. Intriguée, elle écouta attentivement ce qu'il avait à lui dire.

« Coraline, je me suis aperçu que tu nourrissais un Pokémon. Ce n'est pas quelque chose que tu devrais faire, tu le sais bien.

-Je sais, mais...Il était petit, et perdu, alors...Balbutia la fillette, confuse de s'être ainsi laissée prendre par son père qu'elle adorait.

-Coraline, regarde moi. Les Pokémons sont des êtres sauvages, ils ne s'attachent jamais aux hommes. Ils attendent d'être nourris et protégés, puis une fois qu'ils ont eu ce qu'ils voulaient, ils s'en vont. Ils ne sont pas dignes de confiance.

-Alors, alors...Ça veut dire que Spinda est parti parce qu'il ne m'aimait plus? Demanda-t-elle, les larmes aux yeux.

-Il ne t'as jamais aimé. Il restait simplement parce que tu lui donnais à manger. Il a du trouver un meilleur endroit pour avoir de la nourriture, puis il est parti. C'est tout. Ce n'était pas ton ami. »

Voyant sa petite fille s'était mise à pleurer, Elliot se sentit mal d'ainsi lui mentir. Mais c'était plus sûr: Si elle venait à aimer ces monstres, jamais il ne pourrait mener à bien son projet. Il ne voulait pas qu'elle souffre comme lui et Claire avaient soufferts. Il protègerait sa famille de ces monstres. Il se l'était juré, il y avait des années de cela. Et maintenant, il était si proche de ce but...Il ne laisserait rien ni personne venir contrecarrer ses plans.

« Coraline, les Pokémons ont fait beaucoup de mal à Papa et Maman. Ils ont prit l'œil de ta mère, et toute notre famille. On ne leur avait rien fait, pourtant. Mais ils sont comme ça; Ils aiment rendre les hommes tristes, ce sont des monstres. Ce ne sont pas des amis. Même si tu les aiment, eux ne t'aiment pas. Et ils te rendent triste comme maintenant, tu vois. »

Face à une telle évidence, Coraline, si jeune encore, ne pu qu'acquiescer. Et des années durant, son père lui répéta la même chose, comme pour ne pas qu'elle l'oublie. Et la petite fille aux grands yeux bleus finit par croire tout ce que son père lui disait. A savoir: Les Pokémons sont des monstres, tu ne dois jamais devenir leur amie, ils te trahiront. Sans eux, le monde serait bien plus paisible.

n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n

Elliot poussa un soupir de satisfaction, assis devant son ordinateur. Aujourd'hui, au bout de temps d'années d'essais infructueux et de déceptions, il venait de mener à bien son projet. Tout était parfait. Les huit cobayes étaient fin prêts, et rien ne pouvait plus venir gâcher son bonheur. Regardant du coin de l'œil les huit Pokémons qui se trouvaient chacun enfermés dans une cage de verre, il eu un rictus méprisant. Sans eux, jamais sa famille ne serait morte. Son père, sa mère, son frère, sa soeur... Lui et Claire avaient trop soufferts à cause d'eux, il les haïssait. Il allait faire payer aux Pokémons tout ce qu'ils avaient fait subir aux Humains depuis la nuit des temps, car il savait que sa famille n'était pas la seule à avoir subit tel traitement. Se levant de son fauteuil, il s'approcha des Pokémons, qui semblaient totalement amorphes. Sur leur joue se trouvait le même étrange signe que celui qui se trouvait sur celle de Coraline. Cette marque symbolisait le lien qui unissait ces monstres et sa fille. Celui qui allait les soumettre à la volonté de cette dernière, quoi qu'il arrive. Il se mit à rire, mais s'arrêta lorsqu'un coup se fit entendre sur une des parois de verre. Le Lucario qu'il avait volé était toujours éveillé, et le fixait de son regard haineux. Elliot détestait ce Pokémon qui lui semblait bien trop Humain et intelligent, mais avait trouvé que c'était là parfait; Asservir un tel être n'en était que plus humiliant pour ce Pokémon, et glorifiant pour lui. Ah, ils faisaient moins les fiers, ces erreurs de la nature! Il laissa s'échapper un nouveau rire.

La vengeance est toujours cruelle.

n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n.n

Coraline avait treize ans maintenant. Elle détestait les Pokémons, et n'avait jamais su que le Spinda du laboratoire de son père était celui qu'elle avait sauvé des années auparavant. Les expériences de son père étaient des réussites, et elle avait plusieurs fois expérimenté cette joie de dominer et d'asservir ces Pokémons. A ses yeux, ils n'étaient rien d'autres que des outils de protection. Des objets. Des machines à tuer. Rien d'autre. Un matin de Juin, cependant, lorsqu'elle ouvrit ses yeux, il n'y avait aucun bruit dans la maison. Elle descendit au rez-de-chaussée, mais ne vit que le petit déjeuner, déjà froid. Aucune trace de sa mère. Elle alla dans le jardin, mais il n'y avait aucune trace de ses frères. Elle descendit au laboratoire, mais n'y trouva pas son père. Seulement les huit Pokéball des Pokémons sujets d'expérience, accompagnées de ce mot: La mort attrape d'abord ceux qui courent.

Coraline ne su jamais ce qui était arrivé à sa famille, mais mu par une étrange conviction, elle prit le Pokéball avec elle, et commença un long périple à travers les différentes régions du monde. Elle était persuadée que ce mot était de la main de son père, et qu'il lui demandait de tuer les Pokémons. Et si elle les tuait, elle pensait que sa famille reviendrait.

Mais au fond, son interprétation est-elle la bonne? Ce qui est certain, en tout cas, c'est qu'elle le pense dur comme fer.

Description physique: Coraline est un tout petit bout de femme, et ce bien qu'elle ait d'ores et déjà atteint ses quinze ans. Les rondeurs de l'enfance ne semblent pas vouloir quitter son visage, qui fait bien plus penser à celui d'un enfant qu'à celui d'une jeune fille. Avec ses grands yeux bleus, Coraline pose sur le monde un regard qui pourrait passer pour innocent au premier abord, mais qui ne l'est en aucun cas. Si elle prend une expression joyeuse, elle peut sans mal passer pour une petite fille avide de jeux. En effet, lorsqu'on la rencontre une première fois, on peut sans mal se tromper sur son âge et penser qu'elle a seulement douze ou treize ans. Il est clair que la jeune fille ne peut pas compter sur son physique pour se faire respecter ou obéir! Ses cheveux sont d'une couleur hésitant entre le roux et le blond, coupés courts. Coraline ne déteste pas les cheveux longs, elle les adore, même. Tant qu'ils sont sur le crâne de quelqu'un d'autre, cela étant. Ne vous inquiétez pas si elle complimente vos cheveux, elle le fait bien souvent, même à quelqu'un qu'elle n'a jamais vu de sa vie jusque là. Du haut de son mètre cinquante deux, comme déjà dit, Coraline est loin d'être quelqu'un d'impressionnant dans un quelconque sens que ce soit. Petite chose toute petite et légère avec ses trente trois kilos, les adultes ont tendance à la dorloter plus que de coutume, ce qui n'est au final pas pour lui déplaire.

Question vêtements, Coraline est très exigeante. Elle ne mettra pas une jupe si la couleur ne lui plaît pas, ou si la dentelle qui la décore n'est pas à son goût. Généralement, elle opte pour un short bouffant de couleur noire, une chemise blanche à dentelle par dessus un sous-pull de la même couleur que son short, et des bretelles pour faire tenir le tout. Il arrive parfois qu'elle enfile une longue cape rouge et or, principalement lorsqu'elle a froid ou qu'il pleut. Elle appartenait autrefois à son frère aîné, et elle en prend grand soin. A ses yeux, elle lui a seulement emprunté, et devra lui rendre en bon état lorsqu'il reviendra.

Oh, et bien sûr, Coraline a sur la joue gauche un étrange tatouage pourpre. C'est la seule trace visible des expériences qu'à pratiqué son père. Il est présent sur la joue de tous ses Pokémons, et il s'agit du lien qui les unis. La jeune fille déteste proprement qu'on y touche.

Description mentale: Coraline n'est pas, objectivement, une jeune fille que l'on pourrait qualifier d'équilibrée. Elle n'est pas folle, loin de là, mais n'est pas entièrement saine d'esprit pour autant. Peut-être le fait que ses parents étaient frère et soeur y est pour quelque chose. Ce qui est certain, c'est que la jeune fille n'est pas une personne que l'on peut oublier aisément après avoir parlé avec elle ne serait-ce qu'une fois. Très enfantine, Coraline agit comme une enfant, ce qui n'est pas pour aider les autres dans l'estimation de son âge réel. Elle aime rire, jouer à des jeux, bien que ces derniers ne soient pas forcément très sains ni sans dangers, et a cette agaçante manie des enfants de répéter sans cesse une question jusqu'à ce que vous y répondiez. Si vous la rencontrez, il y a de grandes chances, si elle a décidé qu'elle vous aimait bien, qu'elle vous suive un bon bout de temps. Avec un sourire perpétuellement accroché à ses lèvres, elle pourrait paraître adorable si elle ne laissait pas à ses interlocuteurs cette étrange sensation de malaise. Regarder quelqu'un dans les yeux, fixement, est selon elle le meilleur moyen de le faire parler plus vite. Et s'il ne parle pas, il y a toujours d'autres moyens.

Violente, en effet, elle n'hésite pas à frapper, couper, ou poquer de monumentales crises de colère pour obtenir ce qu'elle désire. Bien que ses petits poings ne font guère mal, elle a toujours un couteau, un cutter, une quelconque lame sur elle, pour s'assurer de votre coopération. Et si les choses ne tournent pas comme elle le veut, elle a toujours ses Pokémons pour la protéger. Intelligente, Coraline l'est, indubitablement, qualité qu'elle a hérité de son père. Nier son ingéniosité et sa ruse serait mentir, et la jeune fille aux yeux bleus a toujours un tour dans son sac pour se sortir des situations les plus désespérées. Égoïste, à la manière d'un enfant, elle refuse de prêter ses 'jouets', et cela s'applique aussi bien aux objets inanimés qu'aux êtres vivants. Ce qui est à elle est à elle, ce qu'elle considère comme étant à elle étant à elle également à ses yeux. Coraline n'est pas très conciliante, vraiment; Elle est capricieuse, colérique, une vraie petite peste gâtée agissant comme une princesse.

Mais loin de cette attitude de petite fille choyée par ses parents et ses frères, Coraline est une jeune fille que l'on pourrait qualifier de sadique, malsaine. Elle n'a aucune pitié pour ses ennemis, les écrasant sans hésiter. Les Pokémons, elle les déteste, veut tous les voir morts, et demande à ses Pokémons de se charger de ce sale boulot, sachant pertinemment que cela leur fait du mal que d'ôter la vie de leurs semblables. Elle rit de la misère des autres, se fiche des plus démunis, peut torturer mentalement et physiquement sans le moindre remord. Ce n'est pas auprès de cette jeune fille que vous trouverez la pitié ou un quelconque refuge, c'est choses certaine.

Objectif: Tuer les Pokémons. Elle les déteste vraiment trop. Elle pense que si elle en débarasse le monde, sa famille reviendra.

POKEMON préféré: Aucun. Elle les méprise tout autant qu'ils sont.

Devise: Elle n'en a pas vraiment.

Autre: Donc, en gros, pour faire simple, les Pokémons de Coraline sont sous son entier contrôle. Je m'explique: Grâce aux expériences menées par son père, si elle se blesse, ses Pokémons (ceux qui ont la marque) ressentent sa douleur en dix fois pire. Si elle vient un jour à mourir, ses Pokémons mourraient eux aussi, automatiquement. Ils ne restent pas avec elle par amitié, loyauté ou n'importe quoi d'autre, mais simplement car ils veulent vivre. Il n'y a guère que Spinda qui l'aide dans sa quête car il est attaché à elle. Les autres la détestent, et elle leur rend bien, n'hésitant pas à les frapper et les maltraiter. S'ils l'aident et la protège, c'est simplement parce qu'ils veulent vivre. Le but de son père était de soumettre les Pokémons à elle, qu'ils la protègent sans pouvoir lui faire de mal. On peut dire que c'est réussi, il est parvenu à littéralement asservir des Pokémons.~

D'ailleurs, je vous préviens que toute ressemblance de son histoire avec d'autres choses serait totalement fortuite. C'est sorti de mon esprit, mais c'est classique, alors allez savoir si quelqu'un l'a déjà fait avant moi, je n'en sais rien.~

J'ai deviné que c'était toi rien que au moment ou j'ai vu le en cours et l'avatar,signature avant le reste na mais c'est pas possible t'auraity aurait pu le faire avant d'être allé a laval...Buienvenue qund me^me mais bon je vais tous vous devancer sur son histoire nyark!

Bienvenue! (Oh non, pas intêret à la croiser celle-là, pas envie de me faire voler mes Pokémon! >0<)

Attend...Tuer les pokémon!?
Mais nan!!!Les pokémon son nos amis, on les bouffe plus!>o<
heu...Nan, c'est pas ça...
X]

*Va fouettez la mystèrieuse personne qui gère coraline pour quelle crache le morceau sur son histoire^^*Na sérieux je suis préssé de nature quoique impulsif mais la je m'embrouille donc grouille toi!!!que raconte tu les poémon ne sont fait que pour l'argent sauf les miens cela va de soi...

C'est vrai que du Léviator en brochette ou un sushi de Milobellus sa ne doit pas être mauvais, mais je n'emmènerai jamais mes Pokémon près de cette barbare, qui se prend pour une femme des cavernes allant chercher des Kranidos pour le dîner... ù_ù Franchement, tuer un Pokémon, est une chose immonde, jamais personne n'a jamais tué de Pokémon ici... A part si, un Galeking affamé cherche un Galekid à bouffer. XD

Ah ah ah, vous voudiez savoir, hein. Mais vous ne saurez pas tout de suite, car je pars en Italie du 20 au 26, je vous le dis au passage comme ça...XD

Coraline ne mange pas les Pokémons, elle les tue, différence. Elle n'en mangerait jamais, elle est sûre que ce n'est point comestible.~

Non mais oh, ne confondons pas tout.8D

D'accord, merci de nous prévenir de cette absence ^^

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ITALIAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

profite bien !

Italia?
paaaastaaaaaaaaaaaaaa!XD

bonne vacances, alors!^^

Pizza, spagetthi... T.T Moi je me rappelle même plus de l'Italie, pourtant, j'ai des origines françaises et italiennes! Bonne vacances, assacine >w<'

Merci!^^-

Bon, j'ai ENFIN terminé ma fiche. Désolée du retard, j'étais un peu débordée.è___é

OMG mais pourquoi le forum est tout déformé?O_____O'''

qu'est ce que t'appelles déformé ?

FORUM OPTIMISÉ SOUS MOZILLA FIREFOX !!!

N, je vais me joindre à toi pour régler son compte à cette affreuse "dresseuse" ><

D'ailleurs, Coraline veut adhérer au groupe des dresseurs? o_o

ho ho chez moi internet beug et du coup les ordis portable ne marchent plus mais en effet elle va chez les dresseur ^^

D'accord, je valide donc ^^
En attendant le retour d'internet sur vos ordis portables o_o