-50%
Le deal à ne pas rater :
WiMiUS S27 – Mini projecteur portable rotatif à 270° Full HD 9000 ...
69.99 € 139.99 €
Voir le deal

Partagez|

Vie et mort des patronymes [libre]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Invité

Invité



Vie et mort des patronymes [libre] Empty
MessageSujet: Vie et mort des patronymes [libre] Vie et mort des patronymes [libre] Icon_minitimeLun 3 Déc - 22:24

Nazo. L'homme aux milles noms qui ne sont rien. Un néant, une conscience n'existant que dans le but d'accomplir des missions. Derrière ce surnom existe un homme, mais en mission l'homme n'est plus. L'homme fuit le chaos originel qu'est l'humanité pour devenir le légiste, le juge ou l'agent. Nazo était le dernier. Il ne faisait qu'appliquer les lois, il ne faisait que chercher les criminels, combattre la cruauté naturelle de l'homme. Tout cela dans un seul but. Débarrasser le monde d'entités néfastes, les teams. La traditions des teams semblait transcender les âges, et Nazo n'avait jamais entendu parler d'une époque sans elle. Organisations d'individus, toujours regroupé autour d'un homme ou d'un idéal, le nom « Team » était souvent donné aux organisations extra-gouvernemental cherchant à mener un but plus ou moins néfastes.

Un but. Idéal ou simple interet personnel. Les Idées, haute dans leur monde intellectuel, ou ce bas monde, composé de crasse et de sang. Les idéaux sont une belle chose, mais aussi une chose dangereuse. Même s'ils étaient enseignés, ils avaient toujours pour origine l'expérience d'une personne. Un homme qui, face à la cruauté de la vie, développait une vision du monde et un but ultime. Mais souvent, un tel but ne pouvait n'être que violent, que réaction face à la cruauté et l'inhumanité d'un monde pourtant façonné par les humains. Les idéaux étaient dangereux, parce que dire qu'ils venaient de la raison n'était que mensonge. Aucun homme dans l'idéal n'est raisonnable. Et les hommes vivant dans les buts personnels ne valaient pas mieux, aux yeux de l'agent. Qu'ils soient hédonistes ou non, ils n'étaient que des sangsues face aux autres. Leur égoïsme ne pouvait être que source de malheur.

L'homme ne peut vivre que pour les autres, et dans la raison la plus controlée, pensait Nazo. Mais était-ce possible ? La pire peur de l'agent était un monde ou la bonté ne soit qu'apparence. C'est alors que les lois naissaient. Elles n'étaient peut être pas bonnes, mais elles étaient le seul moyen de maintenir en vie une humanité. Et la seule croyance à laquelle pouvait encore se raccrocher l'agent. « Ou est le bien, ou est le mal ? » « Ne te pose pas la question, Nazo, il n'y a que les lois. » Tel était l'éternel discours intérieur d'un homme perdu.

Nazo écrasa sa cigarette dans un cendrier public. Il avait une mission, il devait arrêter un homme. Eduard de Cyrène, dirigeant de combat à mort de pokémon, tout un CV de canaille. Il s'enrichissait sur ces véritables mises en spectacle de mort, violence ultime qu'aucun dresseur sensé n'atteignait. Mais cet homme dépassait toutes les limites pour son simple plaisir. Pas de liens avec les teams, à ce que savait Nazo, ce qui l'étonnait franchement. Mais peut-être se trompait-il ? Toujours était-il qu'il fallait le capturer. L'agent avait l'adresse. Il n'avait plus qu'à se rendre à l'appartement pour l'attraper. Il marchait dans la rue vers son but, son manteau se balançant au fil de ses pas. Il marchait calmement dans les rues bondées de la ville, autour des voitures qui même la nuit se dirigeait, fantômes vrombissant de taules.

Troisième immeuble de la Rue de Calliclès, appartement 731. Nazo fumait une seconde cigarette devant l'établissement. Haut standing, c'était un hotêl de luxe pour des invités de marques. Le policier rechargea son fidèle Taurus PT-96, il n'allait pas faire de combat pokémon en cas d'altercation. Il ne voulait pas risquer la vie de ses compagnons face à un tel monstre. Les combats à mort n'étaient plus le jeu quotidien de tout ses dresseurs qui faisaient du poké-poké dans les arênes. C'était le dangers, ce avec quoi il ne fallait pas jouer. Un jeu de fou, même les teams n'allaient pas risquer de perdre des combattant précieux dansce délire hormonal de la vue du sang, des os qui se brisent. Faire s'entretuer des pokémons n'était pas que le tabou ultime. Il était la pire des inepsie. L'arme retourna a l'intérieur du grand manteau de Nazo.

L'agent entra dans l'immeuble. Les escaliers chics se multipliaient jusqu'au septième étage, lieu ou résidait l'être fou, sans qu'âme ne vive. Étrange, songeait l'agent. Il arrivait devant la porte. Elle était ouverte, la serrure avait été forcée. Nazo commençait a se poser des questions, ce qui atténua sa surprise une fois dans la pièce principale. Tout était ravagé. Tables de bois précieux brisés, tiroirs arrachés et fouillés, fauteuil éventrés, livres éparpillés. Du travail de pro, malgré les apparences. Il était impossible de savoir exactement ce qui avait été volé dans un tel fouillis. Et le meilleurs moyen pour des pros d'agir était de se faire passer pour des amateurs. L'agent ressortit son arme. Il brisa d'abord la porte de la salle de bain. Salle intacte et vide. La cuisine était dans le même était, ainsi que le bureau.


- Bon sang, jura l'agent des forces spéciales, ce n'est pas possible !

Nazo força la porte de la chambre d'un coup d'épaule. Et fut accueilli par un corps, ce à quoi il commençait à s'attendre depuis qu'il avait vu l'état de l'appartement. Celui qui avait fait se battre a mort des pokémons avait-il vécu ? Freidrich Ciolan se dirigea vers le corps, pour prendre le poul. Mais avait qu'il pu atteindre le corps, il se prit une attaque pokémon. Il n'avait pas eut le temps de voir d'où elle venait, mais c'était forcément mauvais signe. Il tenta de se relever difficilement, et fondit vers la porte, heureusement sans subir une nouvelle attaque. Il entendit des ordres, sans vraiment les comprendres, trop pressé de partir.

- Mince, mince, je m'y attendais pas, à ça !

Il sortit de l'appartement à toute allure, et dévala les escalier sans regarder derrière lui. Qui avait bien voulu tuer cet homme. Des tenants d'un contrat qu'il avait mal honorer ? Ennemis commerciaux ? Vengeance personnel ? Quelqu'un ayant voulu faire justice lui même ? Toujours était-il que la fuite était désormais la seule option. Il n'entendait pas son ennemi derrière lui, et ne savait pas s'il était suivit, et une fois dans la rue, il continua de courir sans réfléchir. Plus il mettrait de distance avec celui (ou celle, ou ceux ?) qui l'avait attaqué, plus il serait en paix. Mais quand on ne regarde pas devant soi, on en paie le prix. Nazo percuta quelqu'un, sans vraiment comprendre ce qu'il se passait.

- Oh, euh, désolé ! dit-il en tentant de se relever, un peu sonné. Voyez vous, j'ai eut un petit problème, et je m'excuse sincèrement de vous avoir percuté.

L'agent se releva, regardant la personne qu'il venait de percuter. Il tenta de lui proposer de l'aider à se relever, oubliant l'espace de quelques instants qu'il avait été poursuivit. Le choc brutal l'avait sortit du "monde" de la poursuite.

HRP:
Revenir en haut Aller en bas

Messages : 61


Vie et mort des patronymes [libre] Empty
MessageSujet: Re: Vie et mort des patronymes [libre] Vie et mort des patronymes [libre] Icon_minitimeSam 9 Fév - 17:42

Johto ! Une si belle région ! Avec une histoire millénaire ! Plein de chose à voir ! Des temples, des tours à moitié brulé, d'autre plus en état, de magnifique palais royaux... Que de choses à voir ! Elle avait envie de tout voir. Mais véritablement de tout voir. Elle devait se dépêcher, si elle ne voulait que tout soit totalement envahit par des touristes furieux, qui comme elle voulait profiter le plus possible de cette région magnifique. Sans doute l'une des régions les plus riches en histoires, en traditions, en us et coutume. Bref, elle était bien contente d'être en visite dans cette région. Elle semblait que plus passionnante que dans les livres qu'elle avait si souvent étudié pendant ses cours de littérature !

Alors... Qu'est-ce qu'elle allait faire en premier...? Rosalia et ses danseuses kimonos, qui portait le même genre de tenue qu'elle...? Mauville, pour qu'elle visite la Tour Chetiflor, et ensuite, visite les Ruines Alphas... Ebenelle pour les dragons ! Ahlala ! Elle avait tant de choix ! Mais qui était-elle ? Si vous êtes ingénieux, mes amis, vous regarderiez sur votre droit. Non. Votre autre droite, vous savez, la gauche. Bon. Regardez à gauche, et vous le saurez, bien sur. Il se peut aussi que vous ne voulez pas, car vous êtes concentré sur la lecture. Alors la réponse était très simple. C'était tout simplement Aria ! Le kimono auriez dût vous mettre la puce à l'oreille, non ? En tout cas, c'était bel et bien elle.

Elle marchait dans les rues de Doublonville, tranquillement, sans oser rien dire, préférant regarder tout autour d'elle. Première remarque, c'était que la ville était, oh mon dieu, doux jesus, super grande. Tain. Elle arrivait même pas à se retrouver. Elle pensait en rigolant que heureusement qu'elle n'était pas à Volucité, car sinon, elle n'aurait jamais trouvé ne serait-ce un hôtel pour dormir. Au moins, c'était un peu plus simple dans la capital de Johto, relié par le train à la région voisine qu'était Kanto. Une ville dynamique, visiblement, mais qui décevait fortement la jeune demoiselle, vu qu'elle s'attendait à voir une région fortement historique...

Bien sur, elle savait pertinemment qu'une région ne pouvait survivre uniquement de patrimoine. Il fallait aussi autre chose pour survivre. Le Patrimoine, ou ce qui venait de nos père, le « Pater Familias », devenu aujourd'hui la patrie, était un symbole. Cela traduisait l'idéologie et l'appartenance à une famille hyper-développer, qu'est l'État. Celui de Johto était ce qu'on pouvait appeler un patrimoine exceptionnel, dont de nombreux touristes, dont Aria faisait là en ce moment partit, venait visiter chaque jour. Pourtant, il n'était pas spécialement mis en valeur. Les sites archéologiques n'étaient qu'à peine protégée, et aucune tentative de restauration ne semblait pointer le bout de son nez pour la fameuse tour Cendrée... Une catastrophe archéologique et patrimonial.

Mais nous ne sommes pas ici dans cette étude, pourtant totalement intéressante. La demoiselle marchait tranquillement, et regardait tout autour d'elle, l'appareil photo à son cou. L'avantage de cette région, c'était qu'il n'y avait pas ses maudites teams pour la gâcher le plaisir. Elle était totalement libre, et pouvait penser à autre chose que ses idées de revanches qui lui pourrissait le cerveau, depuis beaucoup trop longtemps. Là, elle était tranquillement entrain de marcher, ne pensant même pas au team. Elle pensait seulement, où est la sortie. Quand soudainement, elle se prit quelqu'un, l'envoyant contre le sol.


« Que quoi ! Aoutch !
- Oh, euh, désolé ! Voyez vous, j'ai eut un petit problème, et je m'excuse sincèrement de vous avoir percuté.
-Hein ? »

La jeune demoiselle au kimono n'avez pas comprit sur le coup ce qui se passait, elle était tranquillement entrain de marcher, quand tout d'un coup, elle s'est prit un missile balistique non déclaré, la projetant contre le sol, alors que pour l'instant elle avait rien fait. Elle regarda le « Missile balistique ». Un mec, plutôt agé, mais plutôt beau gosse, pour la chasseusse de prime free-lance, qui semblait être assez pressé, ou alors géné de l'incident. Ou les deux, mais ça, elle ne pouvait pas le savoir. En tout cas, il avait eu la décence de l'aider, alors qu'elle était par terre, de s'excuser et de dire les raisons de ce choc, alors, elle se devait de f aire une meilleur réponse que le bête « Hein » qu'elle avait dit juste avant. Elle déclara alors :

« No probl' mec ! Il se passe quoi encore ? Je suis spécialiste pour régler le problème. J'peux même te faire un prix, je suis chasseusse de prime, alors, c'est moi qui règle tout cela. »

C'était toujours comme ça avait Aria, disons qu'elle était direct. Elle n'aimait pas les longues discussion. Certaines personnes étaient des grands faiseurs de mots, mais vide de sens et d'acte, d'autres était des hommes d'actions, mais dont la réflexion manquait bien souvent. Peu arrivait à combiner les deux, et ainsi, cela prouvait que les gens avait besoin de s'allier. Les personnes devaient se mettre ensemble, et ainsi, le monde pouvait changer. Seul, avec son caractère impulsif et peu contrôlé comme contrôlable, Aria n'allait pas faire grand chose pour changer le monde. Mais avait un minimum de contrôle, elle pourrait faire de grandes choses. C'est moi qui vous le dit. Mais écoutons d'abord :

« Alors, t'es qui, et qu'est ce qui se passe ? »

Elle souriait, comme d'habitude. L'adulescente, tranquillement, regardait l'homme. Elle avait vraiment envie de se rendre utile ! Qui sait, il avait peut-être des problèmes ! Sans doute à cause d'une team, pensait l'esprit monomaniaque de la membre des forces de Police International, de manière Free-Lance. Ce qu'elle ne savait pas, c'était bel et bien que son collègue était devant elle, dans un sens. Vu que Nazo, mais elle ne le connaissait pas, était aussi des Forces de Polices International. Aria n'avait que rarement vu ses collègues. Cela t'apprendra pour la prochaine fois, jeune demoiselle !
Revenir en haut Aller en bas

Messages : 90


Feuille de personnage
Equipe Pokémon:
Age: 28
Citation préférée:

Vie et mort des patronymes [libre] Empty
MessageSujet: Re: Vie et mort des patronymes [libre] Vie et mort des patronymes [libre] Icon_minitimeSam 9 Fév - 19:41

"Pitié ..."

"Tu ne mérites pas de pitié."

Richter était dans la chambre d'un hôtel de luxe de Doubonville, son épée à la main, un air extrêmement sérieux sur le visage. En face de lui se tenait un homme d'une trentaine d'années, quelques larmes coulant sur le visage, l'air totalement désespéré, implorant le pardon de son interlocuteur. Spectrum volait gaiement autour du duo, attendant l'instant fatidique. Le chevalier Plasma paraissait imperturbable, sourd aux lamentations de l'homme qui se trouvait en face de lui. Richter n'était pas insensible, loin de là, mais il avait appris à traiter depuis longtemps avec les personnes comme lui. Une seule chose pouvait les stopper définitivement. La mort.

Comment le commandant Plasma en était-il arrivé là ?

Richter était revenu dans sa ville natale pour une mission précise, dont il avait entendu parler à la télévision. Une véritable organisation de combats à mort de pokemons sévissait dans toute la région de Johto. Un crime qui répugnait totalement le chevalier d'élite Plasma. Les hommes étaient vraiment de véritables bêtes, pire que des animaux, pour pouvoir créer de tels supplices à des créatures innocentes. Au départ, il avait soupçonné la Team Rocket d'en être à l'origine, ils étaient prêts à tout pour se remplir les poches, ceux-là. Mais après une enquête, il avait découvert le réel coupable de cette horreur. Eduard de Cyrène. Un homme d'une trentaine d'années qui n'avait rien trouvé de mieux à faire que ça pour gagner sa vie. Un habitué des délits, visiblement. Mais là, il ne s'agissait plus d'un délit, mais d'un crime. Richter ne pouvait laisser passer ça.


Il finit par découvrir où vivait cet Eduard. Un hôtel de luxe dans le quartier aisé de Doublonville. Son travail le rémunérait très bien, apparemment, preuve qu'il y avait bien plus de cinglés dans ce monde que ce qu'on pouvait penser. Le commandant Plasma avait fini par arriver à l'étage de cet individu, en forçant la porte, il savait déjà ce qui allait se passer à l'intérieur. Il entra donc discrètement, avant de lancer Spectrum, qui savait ce qu'il avait à faire. A coup de Psycho, il créa un véritable bordel dans la pièce principal, pour faire croire à un simple cambriolage qui aurait mal tourné. Richter, lui, se dirigea vers la chambre, où il trouva Eduard qui lui lança :

"Hé, mais vous êtes malade ou quoi ?! Qui vous a permis d'entrer ?"

"La justice."

Le chevalier Plasma se jeta littéralement sur sa cible, le mettant à terre. L'autre tenta de répliquer et donna un solide coup de poing sur le chevalier, mais il en faudrait plus pour en venir à bout. Richter utilisa toute sa haine, sa colère et le frappa au ventre, encore, encore, et encore, jusqu'à ce qu'il entende un cri déchirant. Oh, il venait de lui casser un côte. Eduard alla sur son lit, n'arrivant même plus à se relever, en gémissant de douleur. Pathétique. Il demanda, en suffoquant à moitié :

"Qui ... qui êtes-vous ? Qu'est-ce que ... vous êtes venus faire ici ?"

"Eduard de Cyrène, vous êtes l'organisateur de combats à mort entre pokemons. Vous êtes responsables de la mort de nombre d'entre eux. Vous avez toujours réussi à échapper à la police, mais vous allez payer ce que vous avez fait, dès maintenant. Oh, et, je me nomme Richter Abend."

"Attendez ... je n'ai rien fait de mal ... j'avais besoin d'argent ... ce ne sont que des créatures ..."

Avec une rapidité impressionnante, Richter avança sa main vers la gorge de l'homme. Essayant de garder son sang-froid malgré tout, il ne pouvait supporter ce genre de language abject, venant d'un être misérable. Alors que les yeux de la victime commençaient à dévier, le chevalier relâcha la pression, s'éloignant tandis que Spectrum arriva dans la pièce, ayant fini son petit travail. Le membre Plasma sortit son épée, ce qui effraya encore davantage l'homme en face de lui, qui lui demanda, avec une voix apeurée :

"Vous ... vous allez me tuer ?"

"En effet."

"Pitié ..."

"Tu ne mérites pas de pitié."

Et nous y revoilà ... Richter était on ne peut plus clair dans ses paroles, et il vit la peur de la mort se dessiner dans les yeux de sa future victime. Un homme ne se dévoilait réellement que lorsqu'il était sur le point de mourir. Cet individu se révélait donc comme il était vraiment, un être lâche, méprisable, pathétique. Néanmoins, le tuer d'une lame serait suspect, et les futurs enquêteurs pourraient remonter facilement à la Team Plasma. De plus, cet homme ne semblait même pas ressentir le moindre remords, il méritait un punition plus sévère, assurément. Richter lança donc :

"Tu vas bientôt mourir. Mais avant, mon ami ici présent va te faire revivre tous tes cauchemars, jusqu'à ce que tu n'en puisses plus, pour que tu souffres autant que tu as fait souffrir. Spectrum, aucune pitié."

Spectrum s'avança, assez ravi de cette décision. Il lança d'abord Hypnose, endormissant l'homme en face de lui, avant de le détruire de l'intérieur avec Dévorêve. Le fantôme se concentra de plus en plus, tandis que Richter se contentait d'observer avec dédain les cris et autres spasmes de l'homme en face de lui. Cela dura de longues minutes, pendant lesquelles le fantôme devait redoubler d'imagination dans sa torture mentale. Toujours endormi mais comme somnambule, Eduard amena soudain ses mains à sa gorge, en serrant de plus en plus fort, alors que le pokemon spectre semblait donner de plus en plus de puissance dans son offensive. Puis tout à coup, alors que la pression des mains de l'homme était extrêmement forte, Spectrum s'arrêta. Ce dernier ne pouvait plus jouer avec son esprit, puisque cet esprit s'en était allé. Richter avait tout regarder sans flancher une seconde, il avait réussi sa mission. Eduard de Cyrènes était mort.

Cambriolage, ou suicide, peu importait, ça n'allait que compliquer le travail des flics. Et maintenant, il était temps de partir. Mais Spectrum le prévint par télépathie. Quelqu'un arrivait, dans quelques instants. Richter se dirigea derrière la porte d'entrée, avant d'apercevoir quelqu'un passer, se dirigeant vers la chambre. Il était habillé de noir, et ressemblait à un membre des FPI. Il ne fallait pas qu'il trouve le corps trop vite, après tout, Eduard pouvait toujours être réanimé, même s'il y avait peu de chances. Spectrum comprit et lança, invisible, une attaque Poing Ombre, que le jeune homme parvint à éviter avant de courir à toutes vitesses vers la sortie. Richter sourit, peut-être un débutant ... Cependant, la sortie des escaliers était exclue, maintenant. Le chevalier lança Nosferalto qui utilisa Ball Ombre pour briser la fenêtre. Puis le chevalier sauta sur le pokemon, suivi par Spectrum, avant de s'éloigner de cet immeuble.

Il avait pour intention de rentrer directement à Unys, mais vit que Spectrum avait une mine étrange, comme fatiguée. Les trois êtres se posèrent au sol, et Richter put constater l'état assez grave de Spectrum, qui avait les yeux entre ouverts, une expression de nausée sur le visage. Evidemment, la puissant attaque psychique avait dû l'épuiser. Pas le choix, il fallait le soigner avant de repartir. Richter fit rentrer Nosferalto avant de se diriger vers un centre pokemon avec Spectrum ...
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité



Vie et mort des patronymes [libre] Empty
MessageSujet: Re: Vie et mort des patronymes [libre] Vie et mort des patronymes [libre] Icon_minitimeDim 10 Fév - 12:07

Nazo regarda la jeune fille contre qui il s'était cogné. Kimono, air plus ou moins candide. L'agent des forces spéciales n'était pas spécialement étonné de voir ce qui devait être une lycéenne ou étudiante dans Doublonville. Peut être étudiait-elle a l'université de la ville, ou était-elle en vacance, qui sait ? En tout cas, vous serez peut être surpris, mais Nazo ne s'y intéressait pas tellement. Immédiatement après avoir dit ses excuses, il avait sortit son arme de service, son fidèle Taurus PT-96. Ses yeux scrutaient l'horizon. Aucun signe de son agresseur ? Il ne l'avait pas poursuivit ? Nazo entendit soudainement la question de la jeune fille.

- «  probl' mec ! Il se passe quoi encore ? Je suis spécialiste pour régler le problème. J'peux même te faire un prix, je suis chasseuse de prime, alors, c'est moi qui règle tout cela. »

Inutile de dire que l'agent des forces spécial se retourna brusquement, surpris. Dans sa carrière, il avait vu tout et n'importe quoi. Et il avait souvent vu des personnes assez jeunes se retrouvant à être chasseur de primes, ou agent de police. Mais il avait l'impression que cette gamine n'avait même pas encore son bac, et qu'elle jouait à chasser le criminel ? L'agent anonyme soupira mentalement. Tout cela à cause de ces quêtes d'adolescents pour devenir maitre pokémon. Il y avait un temps pour vivre une adolescence, et une autre pour aller tailler des membres de teams...

- « Alors, t'es qui, et qu'est ce qui se passe ? »
- « Ne t'inquiètes pas pour moi... » fit l'agent des forces spéciales. « Je me nomme Alexandre Heraclites, et je suis agent de police. J'étais en train de vouloir arrêter un criminel quand celui-ci a été tué par quelqu'un qui a prit la fuite, et qui a tenté également de m'assassiner. J'accepte votre aide, si cela ne vous dérange pas de coopérer avec un agent de police. »

Il n'avait pas précisé son grade et avait utilisé son nom d'emprunt, comme d'habitude. Il fallait toujours rester prudent, même si cette fille n'avait pas l'air dangereuse. Nazo ne disait jamais son nom à personne, ni qu'il était membre des forces spéciales. Il devait laisser les informations sur lui de manière à ce qu'elles soient le plus « simple » qu'il lui était possible de faire. Moins on saurait sur lui, plus il pourrait faire son boulot tranquillement. Il sentit son téléphone vibrer, et eut un coup de fil, qui n'était qu'un élément scénaristique facile, mais assez logique compte tenu du statut de Nazo.

- Hey, Nazo ! Fit la voix de l'autre coté du fil. Qu'est-ce que tu fous, pourquoi tu t'es cassé de l'immeuble ? Et c'est qui le type aux cheveux rouge qui s'est barré par une fenêtre ? Un aide du type que t'as pas capturé ?
- La cible à été zigouillé par un inconnu, mais ce que tu me dis m'intéresse. Un type aux cheveux rouge, ça me dit rien, mais ça peut être mon tueur.
- La cible a été tuée ? Nazo, tu te rend compte de ce que ça veut dire ? On va encore ne pas pouvoir faire un procès !
- Mais par tous les calebut' d'Arceus, bien sûr que je sais ça ! Si on a pas de procès, on va pas pouvoir montrer à ces foutus tarés ce que la justice leur réserve. Parle moi plutot du type aux cheveux rouge, il est allé ou ?
- Centre pokémon. Mais je doute qu'il y reste longtemps, tu sais, les caméras de surveillance ne sont pas super discrète, et ça m'étonnerait qu'il ne les ait pas remarqué, vu qu'elle ont gardé le focus sur lui quand il passait. Quand t'as des cam' de surveillance qui se tourne sur ton passage et que tu le remarque, tu te méfie.
- En plus d'être orweillien, ce système est inutile. J'espère qu'il y sera encore, qu'il nous aura pas fichu un vent magistral, et qu'on va pas tomber sur un piège. Mais bon, faut bien aller l'arrêter, s'notre boulot après tout.

L'agent des forces spéciales raccrocha au nez de son interlocuteur en soupirant. Quelle barbe ce collège, toujours dans les petit détails à la con et à oublier le plus important. Nazo se tourna vers sa presque collègue. Il l'observa rapidement, de son œil attentif d'agent des forces spécial. Sens du détail, tout ça. Elle semblait être une jeune fille – plutot jolie par ailleurs – pas véritablement forte et tout. Et sa tenue, était-elle adaptée à du combat ? Elle n'avait pas l'air d'avoir de gilet pare-balle. Enfin bon, après tout, si elle est chasseuse de prime, pour avoir survécu, faut bien qu'elle compense avec certains talent, non ? Et puis, ce sont les gens les plus imprévisible qui se révèle être les plus doués.

- Bon, si tu es partante pour me filer un coup de main, il y a un assassin qui a rejoint on ne sait pourquoi le Centre Pokémon. Il sera sans doute dangereux, donc il faut faire attention, surtout que dans cette ville semblerait que leur délire sécuritaire fait que les caméras sont bien visible. Il sait sans doute qu'on risque de lui tomber dessus. Ça va être amusant. Tu viens ?

L'homme, toujours l'arme à la main, se tourna vers la direction du centre pokémon. Il eut le réflexe de le remettre dans la poche. Il n'allait pas se trimballer dans la ville avec un flingue dans la poche. Mais une fois proche de la nouvelle cible, il dégainerait, et serait près à agir. Et maintenant... Advienne que pourra.
Revenir en haut Aller en bas

Messages : 61


Vie et mort des patronymes [libre] Empty
MessageSujet: Re: Vie et mort des patronymes [libre] Vie et mort des patronymes [libre] Icon_minitimeDim 10 Fév - 20:39

Aria était ainsi entrain de regarder l'homme. Il l'avait aidé à se relever. C'est bien. C'était galant. Et elle appréciait relativement la galanterie. Elle n'était pas spécialement féministe, au point d'engueuler les mecs qui étaient un minimum sympathique avec elle et qui l'aidait à se relever quand elle tombait par terre ! Ainsi, elle épousseta rapidement son kimono rose et blanc, et vérifia si son arme n'avait pas quitté sa poche. Ouf. Heureusement, non, et la sécurité n'avait pas sauté. Tant mieux. Elle n'avait pas envie de se tirer une balle dans sa propre jambe. Elle était quand même pas dans les chasseuse de prime sans savoir ce qu'elle risquait, et son apparence juvénile n'était pas la seule chose à retenir sur elle. Elle savait où elle mettait le pieds.

« Ne t'inquiètes pas pour moi... Je me nomme Alexandre Heraclites, et je suis agent de police. J'étais en train de vouloir arrêter un criminel quand celui-ci a été tué par quelqu'un qui a prit la fuite, et qui a tenté également de m'assassiner. J'accepte votre aide, si cela ne vous dérange pas de coopérer avec un agent de police. »

« Enchantée. Aria Cantore. Pas de problème pour la coopération. Je travaille au service de la Police, de manière Free-Lance, pour arrêter les teams, donc, je connais comment vous marchez. »

En effet, Aria était, comme on dit, une agente Free-Lance sous contrat. Je vous explique. Aria avait besoin de sa liberté, si elle ne voulait pas péter littéralement un cable, mais elle avait besoin de soutien. Avec l'apogée des teams, Aria était ce qu'on appelait une agente free-lance sous contrat. Elle avait carte blanche pour arrêter les criminels, tant qu'elle restait dans le cadre de la loi. La torture était bien sûr interdite, et les autres techniques du genre de même. La situation n'était pas encore à ce point « catastrophique ». Donc, pour l'instant, il fallait rester dans le cadre de la légalité. Interdit tout moyen interdit.

Elle regarda alors le policier, Alexandre, qui commença à passer un coup de fil. Polie, elle n'écouta pas la conversation, même si elle sut prendre quelque brins pour son intérêt personnel. On ne devait pas écoutez les conversations au téléphone... Sauf quand cela pouvait être très intéressant pour soi, où la, on pouvait éventuellement gagner une dérogation. Mais bon, passons. Ainsi, elle entendit la confirmation de ce qu'avait dit le fameux policier, la rassurant, ce n'était donc pas un menteur, tant mieux, ce n'est pas qu'elle n'avait point confiance, mais voilà. Au passage, elle avait laissé échapper un petit rire nerveux à l'expression au combien imagé des « calbuts d'Arceus ». Voilà maintenant qu'elle imaginait le divin caprin, car elle trouvait que les représentations d'Arceus ressemblait à une chèvre, en calbut. Pas mal.

- Bon, si tu es partante pour me filer un coup de main, il y a un assassin qui a rejoint on ne sait pourquoi le Centre Pokémon. Il sera sans doute dangereux, donc il faut faire attention, surtout que dans cette ville semblerait que leur délire sécuritaire fait que les caméras sont bien visible. Il sait sans doute qu'on risque de lui tomber dessus. Ça va être amusant. Tu viens ?

« Amusant ? C'est le cas de le dire. Je suis de la route ! »

Elle était motivée, comme toujours. De toute façon, c'était aussi son gagne pain, ce métier, et elle recevait de l'argent quand elle capturait des gens, des criminels. Souvent, on débattait sur la moralité de cela, mais bon, pour la demoiselle au kimono, la moralité, c'était pas quelque chose de très important. Le principal, c'était l'efficacité. Si on devait réussir quelque chose, on s'en fichait que ce qu'on faisait était moral ou pas. Le principal, c'était le résultat; La demoiselle était ainsi, plutôt dans un pragmatisme assez infligeant. Donc, c'était aisé pour elle de savoir quoi faire : Réussir sa mission. Après, nous pouvions discuter de moralité. Mais cela ne l'intéressera pas plus que cela. Au contraire, même elle trouvera cela même plutôt ennuyant. Voilà, c'était la vision de la chasseuse de prime, et elle était au combien répréhensible. Elle déclara alors :

« Deux possibilité : Soit il veux passer pour quelqu'un de normal, n'ayant pas capté les caméras, et se trouve tranquillement dans le centre pokémon, soit, c'est le plus logique pour moi, il est simplement dans le centre, car il doit soigner ses pokémons. Ce qui laisserait supposer qu'il est tué la personne avec un de ses pokémons. »

Pas bête n'est ce pas ? Comme dit dans d'autres Rps, Aria était souvent un peu bêbête, mais elle était doué pour les théories et suppositions. Ce qui gachait très, trop, souvent cela, c'était qu'elle laissait son imagination l'emporter sur une rigueur qui lui permettrait de trouver des choses beaucoup plus rapidement et efficacement. Après, c'était aussi une qualité, dans certain cas, et Aria ainsi était très doué pour inventer des bobards rapidement pour justifier des situations. Elle en avait souvent usé pendant ses années de lycées, et plus pendant ses années de Faculté, découvrant avec grands bonheur que les cours n'étaient pas forcément surveillé. Elle déclara alors :

« Je vais me rendre utile. Tu vas voir l'une de mes principales techniques pour capturer les criminels... »

Elle fit un sourire à l'agent de police, et se dirigea calmement vers le fameux Centre pokémon. Se cachant légèrement, elle fit sortir son Pijako, qui chanta quelques notes, content de pouvoir sortir de sa pokéball. C'était bien. Elle le prit sur la main, et lui chuchota quelques mots. Celui-ci alors s'envola et s'installa sur un lampadaire, non loin de l'entrée du Centre Pokémon. Il nettoya ses ailles, semblant juste s'être installé là, juste pour se reposer, quand soudainement, il déclara d'une voix forte et grave :

« Rendez-vous ! Vous êtes cernés ! »

La principale technique d'Aria. En effet, dans ce genre de cas, le criminel était tout de suite sur ses gardes. Et sauf s'il était très doué, un criminel sur ses gardes étaient stressé. Il ne savait pas quoi faire, ni quoi dire. De plus, si l'agent Nazo, bien qu'elle ne connaisse pas son nom, savait à quoi à peu près ressemblait le tueur, il n'aurait alors aucune chance pour s'enfuir. Il serait dans un véritable guet-apens. Et là, ils n'auraient qu'à le cueillir. Pijako surveillait l'entrée. Bien sûr, le plan semblait parfait... Mais il était exclusivement théorique. Et oui ! Là était le piège, jeune demoiselle. Ne pas croire quelques chose qui soit uniquement théorique.

[HRP : Voilà o/ Bien sûr, si j'vais trop loin, dîtes-le ^^]
Revenir en haut Aller en bas

Messages : 90


Feuille de personnage
Equipe Pokémon:
Age: 28
Citation préférée:

Vie et mort des patronymes [libre] Empty
MessageSujet: Re: Vie et mort des patronymes [libre] Vie et mort des patronymes [libre] Icon_minitimeDim 10 Fév - 21:19

"Bonjour !"

"Bonjour, j'ai disputé un match et mon pokemon est mal en point ..."

"Voyons voir ça ..."

Richter se trouvait donc à l'intérieur du centre Pokemon de Doublonville. L'infirmière Joelle était en ce moment même d'examiner Spectrum, qui était assez content d'être dorloté ainsi. Elle finit par se retirer à l'arrière du bâtiment, avant de revenir quelques instants après, une étrange baie à la main. Le fruit semblait totalement recouvert d'or, il s'agissait donc de la baie régénératrice appelée également baie dorée. Le pokemon fantôme n'en fit qu'une bouchée et retrouva la forme en un rien de temps. Bien, ils allaient donc pouvoir repartir vers Unys sans plus tarder. Mais soudain, il y eut un cri provenant de dehors :

« Rendez-vous ! Vous êtes cernés ! »

Le commandant Plasma garda son calme habituel, mais il ne put s'empêcher de froncer les sourcils. La police ? Comment avaient-ils pu le retrouver aussi rapidement ? Etrange ... mais il fallait surtout voir s'ils représentaient une réelle menace. Spetrum comprit aussitôt par télépathie, et, devenant invisible, put aller jeter un coup d'oeil dehors. Toujours connecté à l'esprit de son ami, le fantôme transmit ce qu'il voyait, autrement dit, seulement deux personnes : Un homme, celui qu'il avait vu tout à l'heure, vraisemblablement des forces de police internationales, accompagné d'une jeune femme habillée d'un kimono, avec un Pijako. Pas une grande menace, du moins, une fois qu'on a pris certaines précautions. Spectrum avait compris et il allait s'en charger ...

L'infirmière Joelle et les quelques autres personnes du centre Pokemon, eux, par contre, n'avaient aucune idée de ce dont il s'agissait, et semblaient avoir un peu peur. Le chevalier Plasma ne fit pas attention à eux et se dirigea vers la sortie après quelques instants. En sortant, il vit les deux individus qui l'attendaient. Par réflexe, ces derniers voulurent prendre leurs armes à feu, mais quelque chose les en empêcha. Spectrum réapparut donc, bien visible, aux côtés de l'agent Plasma, les deux armes à feu dans les mains, l'air goguenard. Il avait bien réussi son coup. Richter demeura calme pendant la réaction de surprises de ses deux adversaires, puis lança sur un ton posé, mais un peu las à la fois :


"Vous croyiez vraiment que j'allais me laisser avoir ? Les forces de police internationales m'ont déjà posé problème par le passé, notamment avec ces armes sans honneur, et j'ai appris de mes erreurs. Maintenant qu'il n'y a plus de menaces entre nous, nous allons pouvoir discuter. Que me voulez-vous exactement ?"

Richter concentrait surtout son regard sur l'homme, mais il se préparait au cas où la femme emploierait son Pijako. Spectrum était très concentré également, suivant les conseils télépathiques de son dresseur. Il n'y avait plus de pistolets, tant mieux, il avait toujours détesté ce genre d'arme, sans honneur, comme il les appelait, puisqu'il suffisait à certaines personnes de les avoir pour avoir le dessus sur leurs adversaires, contrairement aux épées, par exemple, qu'il fallait manier de façon adroite pour créer une véritable menace. De toutes manières, il ne voulait pas se battre, simplement écouter les raisons de ces personnes. Il s'attendait à une tirade sur le respect des lois et avait déjà préparé sa réponse. Il avait ses propres lois.
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité



Vie et mort des patronymes [libre] Empty
MessageSujet: Re: Vie et mort des patronymes [libre] Vie et mort des patronymes [libre] Icon_minitimeVen 15 Fév - 16:36

Nazo ne s'était pas attendu à ça. Son Taurus, prit par le spectrum de ce type. Qui correspondait parfaitement à la description qu'on lui en avait donné. Punaise, le policier s'était bien fait avoir... Mais bon, il semblait avoir à un fort. Un très fort...

« Vous croyiez vraiment que j'allais me laisser avoir ? Les forces de police internationales m'ont déjà posé problème par le passé, notamment avec ces armes sans honneur, et j'ai appris de mes erreurs. Maintenant qu'il n'y a plus de menaces entre nous, nous allons pouvoir discuter. Que me voulez-vous exactement ? »
« Effectivement, je crois que cela aurait un effet plus ou moins positif, l'action de ma presque-collègue. Mais bon, ta petite technique avec ton spectrum était intéressante, je dois l'avouer. Enfin bon, avec ta discution, tu nous sert du thé ? Personnellement, c'est toujours du thé vert à la menthe, merci bien. »

Le sarcasme et l'ironie du policier s'accompagnait d'un sourire proche du rictus. Son regard blasé portait sur le type. Il parlait d'honneur, et autre valeur surannée datant d'il y a quelques siècles. D'ailleurs, ce type semblait sortir droit d'une autre époque...

« En plus, j'ai envie de dire que si toi tu commences à nous empêcher de faire notre boulot, c'est de la concurrence déloyale, j'ai envie de dire que nous on a besoin de faire des mandats et tout, puis on doit se battre pour réussir à le ramener en vie, c'est un peu plus complexe d'assassiner, ça c'est pour les débutants. Maintenant, ce qu'on veut ? Déjà, savoir pourquoi tu l'as tué. Créancier, ennemi, pseudo-héros masqué qui fait son petit caprice d'adolescent, ou autre ? Ou chasseur de prime, mais je pense pas qu'un chasseur de prime aurait fuit, il aurait juste eut a montré sa licence et prétexté qu'il a agit en légitime défense, personne n'aurait vérifié. »

Nazo n'avait pas spécialement peur de son adversaire. Il en avait déjà vaincu des plus fort, et ici on était dans un combat urbain, en plein air. La spécialité de l'agent. En plus, il n'avait beau ne plus avoir son Taurus, il avait deux autres armes identiques cachées dans le revers de son manteau, qui était parfaitement refermé. Il était près au combat s'il éclatait, mais ce n'était pas spécialement le but du policier de se bastonner la tronche. Il avait mieux à faire que ça. Déjà, parce que ce type était fort, et que Nazo voulait éviter un bain de sang. En effet, quelques quidam regardaient la scène, non sans être intéressé par le fait que des gens semblaient près à s'entrebuter. La foule, toujours intéressée par les risques de pugilats.

« Enfin bon, tu nous parle d'arme sans honneurs... Je peux donc supposer que tu as des raisons valables – du moins selon ton point de vue très sûrement proche du « je règle la justice moi même, les juges en sont incapable, je suis la loi, blablabla ». Je suppose que tu n'as donc pas les j'tons de nous dire qui tu es, pourquoi tu as agit, et tout ça. Et surtout pourquoi tu n'as pas fait un véritable duel a mort face à ton adversaire, là tu aurais eut un poil d'honneur. »

Nazo regarda sa presque-collègue. Il ne savait pas comment elle, elle allait réagir. En tout cas, lui, il était furax. Ce type avait pourri tout une enquête. Parce qu'avoir des renseignement et tuer un grand ponte, okay, c'est cool, on notre vengeance. L'utiliser pour faire parler les quelques autres grands pontes qu'on avait capturé et qu'on cuisinait actuellement, cela permettait de faire un coup dur à ce scandale qu'était les combats à mort de pokémon. Mais est ce que ce type se doutait de cela ? La police internationale avaient eut certains types que personne n'avait jamais soupçonné d'être des membres. Comment ? Des serviteurs, qui pour avoir un peu plus d'argent que permettait d'être sous-payé par des vieux porcs, avaient joués les indics. Ce type aurait pu être une pièce maîtresse, de quoi démonter tout le réseau. Maintenant, ils étaient partit pour au moins des années de recherche à refaire. Surtout que sa mort s'apprendrait très vite, contrairement à seulement les menaces et les techniques des forces spéciales, qui consistaient à faire croire au type qu'il va se sortir d'affaire... Des techniques lâches et entièrement fondé sur le « la fin justifie les moyens ». C'était le triste sort de l'humanité : Il fallait parfois être lâche et perfide pour sauver des gens, comme le pensait Nazo.

D'un coup, ces yeux s'éveillèrent d'un soupçon. Un soupçon qu'il n'avait pas eut avant. Presque aveuglé par la déception qu'il avait de savoir qu'il allait devoir continuer des années de boulot sur ce simple dossier, et ignorant totalement qu'il avait devant lui un membre de la Team Plasma, il commençait à se poser des questions. Il avait presque émit l'hypothèse que ce meurtre était totalement dirigé contre le type... Mais il s'agissait peut être d'un moyen justement de faire capoter l'enquète. Et que ce coup de l'honneur, était uniquement pour porter le policier dans un piège, dans une impasse...


« Quoiqu'il se pourrait que... Nous ayons été infiltré... Et que mon action eusse été prévue... » marmonnait-il, mais suffisamment fort pour être entendu d'Aria qui était plus proche que Richter. « Si ce type, c'est de notoriété publique dans les milieux criminels, ce qu'il fait, je me demande pourquoi il n'aurait pas été tué plus tot... Serait-ce possible que ce meurtre serve juste exactement à faire capoter notre enquête ? Brouiller les pistes ? Se débarrasser d'un type pouvant devenir un témoins gênant. »

Nazo se releva, de tout son long. Il n'y avait plus ni ironie, ni sarcasme dans son air et dans son regard. Juste de la dureté, presque une sorte de masque froid et indifférent. Mais le policier restait calme. Parfaitement calme. Il tentait de masquer ses soupçons, et malgré sa colère et le doute qui s'était insinué, ce qu'il voulait c'est savoir exactement ce qu'était son adversaire. Tout possibilité de discutions ne provenait que de là. Si c'était un type lié aux combats à mort, la missions ne serait peut-être pas totalement perdue... Mais si c'était un pseudo-justicier, ce serait tant pis.

« Toi. Partageais-tu l'envie d'arrêter des actions criminelle, ou voulais-tu juste le faire taire ? »
Revenir en haut Aller en bas

Messages : 61


Vie et mort des patronymes [libre] Empty
MessageSujet: Re: Vie et mort des patronymes [libre] Vie et mort des patronymes [libre] Icon_minitimeSam 16 Fév - 14:58

Aria était assez fière d'elle sur le coup. C'était l'une de ses techniques favorites, et elle devait avouer qu'elle avait bel et bien réussit à prendre plusieurs captifs avec cette techniques. Son Pijako l'avait fait de manière très belle. Il aurait ration double, quand ils rentreraient à l'hôtel. Mais là, ce n'était pas encore le moment de criez victoire trop vite. On ne pouvait savoir ce qui allait se passer après. Et là, tout était possible, donc Aria était prête à dégainer son arme s'il le fallait. Tout pouvait arriver, dans ce genre de moment, et la chasseuse de prime avait été bien mit au courent. Donc, rester sur ses gardes, toujours agir avec prudence, pour éviter que sa carrière se brise en un seul tour de main, car un manque de prudence t'avait fait prendre une balle perdue. Bref, la prudence, c'était important. Règle d'or.

Quand soudainement, surprise, elle vit que son arme de service avait disparu ! Comment cela se faisait...? Elle en était sûr, c'était pas normal. A coup sur, c'était un sale coup. Elle n'aimait pas trop cela. Où était-elle passé ? Elle n'aimait pas du tout cela. Quand soudainement, elle comprit. Elle vit en effet un maudit Spectrum qui tenait son arme. Zut ! Elle perdait une position de force certaine. Ses pokémons n'étaient pas du tout assez puissant pour se battre contre un tel adversaire. Soudainement, une voix se fit entendre, tout de suite suivit de celle de son collègue :

« Vous croyiez vraiment que j'allais me laisser avoir ? Les forces de police internationales m'ont déjà posé problème par le passé, notamment avec ces armes sans honneur, et j'ai appris de mes erreurs. Maintenant qu'il n'y a plus de menaces entre nous, nous allons pouvoir discuter. Que me voulez-vous exactement ? »
« Effectivement, je crois que cela aurait un effet plus ou moins positif, l'action de ma presque-collègue. Mais bon, ta petite technique avec ton spectrum était intéressante, je dois l'avouer. Enfin bon, avec ta discution, tu nous sert du thé ? Personnellement, c'est toujours du thé vert à la menthe, merci bien. »

Elle les regarda tout deux, l'un après l'autre. C'était visiblement une discussion qui allait mal tourner, elle le savait bien. Ils allaient opposer deux visions de la justice, et elle, elle allait se faire chier à mort, si vous me permettez l'expression. En tout cas, elle, ce qui l'énervait, c'était qu'elle n'avait plus ses armes, le reste, elle s'en fichait presque. Elle, ce qu'elle devait faire, c'était son travail. La chasseuse de prime s'en fichait de la justice, ou même de savoir si ce qu'elle faisait avait de l'honneur, ou même de la légitimité. Elle travaillait, et voulait se venger. C'était déjà pour elle des buts suffisant... Voilà. Après c'était sa vision.

« En plus, j'ai envie de dire que si toi tu commences à nous empêcher de faire notre boulot, c'est de la concurrence déloyale, j'ai envie de dire que nous on a besoin de faire des mandats et tout, puis on doit se battre pour réussir à le ramener en vie, c'est un peu plus complexe d'assassiner, ça c'est pour les débutants. Maintenant, ce qu'on veut ? Déjà, savoir pourquoi tu l'as tué. Créancier, ennemi, pseudo-héros masqué qui fait son petit caprice d'adolescent, ou autre ? Ou chasseur de prime, mais je pense pas qu'un chasseur de prime aurait fuit, il aurait juste eut a montré sa licence et prétexté qu'il a agit en légitime défense, personne n'aurait vérifié. »

Aria écoutait seulement, sans rien répondre, regardant juste l'homme en face d'Homme. Elle ne le connaissait pas, et elle cherchait dans sa mémoire s'il n'était pas éventuellement recherché pour une appartenance à une team Criminel. Il était grand, et avait les cheveux rouges, qui lui descendait bien bas, dont la demoiselle trouvait que cela donnait un certain style, il fallait bien avouer. Mais bon, c'était a prioris, en théorie un allié, donc, elle ne devait pas s'intéressait plus à son charme. Mais elle regardait bien l'homme. En attendant, elle écoutait bien ce que disait son collègue, elle était déjà sûr de la réponse. C'était bel et bien un crime fait pour se venger. La vengeance, c'était presque sûr. Après, tout c'était évident..

La suite l'intéressait moins. Elle parlait de l'importance des armes, et de l'honneur. Ce n'était pas qu'elle n'avait pas d'honneur, elle estimait qu'elle en avait, mais vraiment, sérieusement, elle trouvait que c'était exagéré. Il fallait bien pouvoir se défendre et se battre. Donc, il fallait des armes, point barre. Qu'importe après tout l'honneur, si on était mort ? Il fallait savoir réfléchir selon les conditions, et mettre de temps en temps cet « Honneur » en veilleuse, si vous vouliez son avis. Car elle était parfois, souvent même de trop. Il fallait donc savoir le mettre de côté, et l'ignorer. C'était la vision d'Aria....

« Quoiqu'il se pourrait que... Nous ayons été infiltré... Et que mon action eusse été prévue... Si ce type, c'est de notoriété publique dans les milieux criminels, ce qu'il fait, je me demande pourquoi il n'aurait pas été tué plus tot... Serait-ce possible que ce meurtre serve juste exactement à faire capoter notre enquête ? Brouiller les pistes ? Se débarrasser d'un type pouvant devenir un témoins gênant. »

« Mec... Calme-toi. Je pense plutôt à une revanche personnel. »

Aria était sûr et certaine de cette théorie. Ou alors, l'autre théorie qu'elle pensait, était légèrement différente, mais elle n'aimait pas trop l'idée que cela soit ça. L'autre théorie qu'était-elle ? C'est ce que vous vous demandez, n'est-ce pas ? Elle était simple. L'autre théorie, était que tout simplement... Ce fameux homme, là, devant eux était un membre d'une team criminel. Elle espérait que c'était une fausse croyance, mais elle avouait que l'idée l'effrayait particulièrement. Cela serait son premier membre de team, devant elle. Elle n'avait que prit des petits criminels, pour l'instant. Rien de gros, si vous vouliez mon avis. Donc, se retrouver desarmé devant, c'était pas très cool. Elle déclara alors, après un long moment de blanc :

« Rien de spécial. Voilà ce que je te veux. Tu as tué un homme, et moi, on me paye pour arrêter les criminels. Je suppose que si tu as tué cette homme, bah, j'dois te foutre en taule. Désolé, mais mon job, c'est bien chasseuse de prime. »

Elle regarda l'homme. Elle n'avait pas froid aux yeux. Et elle n'hésitait pas à être plutôt impolie, voir totalement, même. De toute façon, elle ne négociait pas avec les terroristes. Hors de question. Plutôt mourir que négocier. C'était la vision d'Aria, qui elle ne promettait aucune chance de rachat chez les criminels et les membres de teams. C'était des hommes mauvais « en soi ». Pour elle, les criminels potentiel était tout simplement des criminel en soi. Il était mauvais, et il fallait se comporter avec eux, comme on se comporte avec les bêtes sauvages. En les éliminant. Voilà. C'était le seul avenir. Pour conclure, elle déclara, en souriant, de manière purement ironique et provocatrice :

« Je suppose que tu ne vas pas nous suivre gentiment ? Hors de question que je laisse un beau filon passer, comme ça. »
Revenir en haut Aller en bas

Messages : 90


Feuille de personnage
Equipe Pokémon:
Age: 28
Citation préférée:

Vie et mort des patronymes [libre] Empty
MessageSujet: Re: Vie et mort des patronymes [libre] Vie et mort des patronymes [libre] Icon_minitimeSam 16 Fév - 16:01

« Effectivement, je crois que cela aurait un effet plus ou moins positif, l'action de ma presque-collègue. Mais bon, ta petite technique avec ton spectrum était intéressante, je dois l'avouer. Enfin bon, avec ta discution, tu nous sert du thé ? Personnellement, c'est toujours du thé vert à la menthe, merci bien. En plus, j'ai envie de dire que si toi tu commences à nous empêcher de faire notre boulot, c'est de la concurrence déloyale, j'ai envie de dire que nous on a besoin de faire des mandats et tout, puis on doit se battre pour réussir à le ramener en vie, c'est un peu plus complexe d'assassiner, ça c'est pour les débutants. Maintenant, ce qu'on veut ? Déjà, savoir pourquoi tu l'as tué. Créancier, ennemi, pseudo-héros masqué qui fait son petit caprice d'adolescent, ou autre ? Ou chasseur de prime, mais je pense pas qu'un chasseur de prime aurait fuit, il aurait juste eut a montré sa licence et prétexté qu'il a agit en légitime défense, personne n'aurait vérifié. Enfin bon, tu nous parle d'arme sans honneurs... Je peux donc supposer que tu as des raisons valables – du moins selon ton point de vue très sûrement proche du « je règle la justice moi même, les juges en sont incapable, je suis la loi, blablabla ». Je suppose que tu n'as donc pas les j'tons de nous dire qui tu es, pourquoi tu as agit, et tout ça. Et surtout pourquoi tu n'as pas fait un véritable duel a mort face à ton adversaire, là tu aurais eut un poil d'honneur. »

Richter ne put s'empêcher d'émettre un mince sourire. Son interlocuteur ne manquait pas de toupet, visiblement, peut-être un adversaire à sa mesure. Celui-ci venait de dire toutes les hypothèses plausibles pour un tel acte que cet assassinat. Ni créancier, ni ennemi, ni chasseur de primes, ni même héros masqué, même si c'était peut-être le terme qui convenait le plus parmi ces trois-là. Mais pas héros, non, un héros était un idéaliste qui ne faisait aucune victime, tout en défendant les plus faibles. Richter, lui, avait compris depuis longtemps que la technique du feu par le feu était nécessaire, qu'il ne pouvait y avoir de solutions, dans des cas extrêmes. C'était là sa philosophie de vie, sa loi, oui, la loi, non. L'agent des FPI reprit la parole :

« Toi. Partageais-tu l'envie d'arrêter des actions criminelle, ou voulais-tu juste le faire taire ? »

« Rien de spécial. Voilà ce que je te veux. Tu as tué un homme, et moi, on me paye pour arrêter les criminels. Je suppose que si tu as tué cette homme, bah, j'dois te foutre en taule. Désolé, mais mon job, c'est bien chasseuse de prime. Je suppose que tu ne vas pas nous suivre gentiment ? Hors de question que je laisse un beau filon passer, comme ça. »

"Encore faudrait-il que tu aies les moyens de me capturer."

Pour la première fois, il regardait la jeune femme dans les yeux, sans arrogance, mais avec son calme légendaire. En réalité, il tentait de savoir qui elle était. Une chasseuse de primes ... il avait bien deviné qu'elle ne pouvait apprtenir aux FPI, rien que par ses vêtements pour le moins originaux. Elle disposait d'une certaine assurance, mais était-ce la preuve d'une puissance réelle ou bien d'une inconscience démesurée ? Il ne le saura qu'en la voyant prochainement à l'oeuvre, s'il la voyait, puisqu'il avait toujours son arme en sa possession. C'était l'occasion pour elle de prouver qu'elle était davantage qu'un porte-flingue. Puis Richter redirigea son regard vers l'homme :

"J'ai tué cet homme parce qu'il avait effectué des actes d'une barbarie insensée, et qu'il avait ruiné toutes les secondes chances qu'on lui avait offert. Il n'a pas eu de duel à la loyale, en effet, et il a eu une mort extrêmement douloureuse, mais pas plus que ce qu'il a fait subir à d'autres êtres, à la différence que ceux-ci étaient innocents. Je n'étais ni un ennemi, ni un créancier, ni un chasseur de primes, ni un héros, mais si tu souhaites me surnommer par l'un de ces termes, si cela te plaît."

Comme à son habitude, le chevalier avait dit tout ça d'une voix très calme, presque monotone. Il n'avait pas de leçon à recevoir de ses gens, comme il n'en avait pas à en donner. Lui avait fini son travail ici, il devait rentrer à Unys au plus vite. Evidemment, il n'avait pas prévu cette interruption si rapide de la part des Forces de Police Internationales. Mais il ne voulait pas se battre face à eux, il aurait voulu que chacun reprenne sa route, mais ça n'allait vraisemblablement pas être possible. Affronter ces deux personnes ? C'était une possibilité, dont la probabilité augmentait à chaque instant. Richter dit finalement :

"Et maintenant, que comptez-vous faire ? M'arrêter ? Ce serait inutile. Même si vous parveniez à me capturer, je n'aurais pas de mal à m'évader, j'ai des connections, à Johto comme ailleurs. Autant ne pas gâcher notre temps, j'ai personnellement beaucoup d'autres choses à faire. Et je suis persuadé qu'avec la menace grandissante de la Team Rocket, vous aussi. Restons-en là."

L'agent Plasma était resté imperceptible. Evidemment, il ne se surestimait pas, à deux contre un en plus, il y avait des chances, ou des malchances plutôt, pour qu'il finisse, comme l'avait dit la jeune femme, "en taule". Mais la Team Plasma le retrouverait bien assez tôt pour le faire sortir. S'il n'était qu'un sbire, là, oui, il pourrait pourir en prison. Mais par son grade et ses talents, l'organisation à laquelle il appartenait ferait tout pour le faire échapper. Donc, ça ne servirait à rien de le capturer, ni à lui, car ça retarderait les projets de la Team, ni à ces deux personnes en face de lui, car ils auraient fait tout ça pour rien. Il fallait mieux en rester là, donc.
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité



Vie et mort des patronymes [libre] Empty
MessageSujet: Re: Vie et mort des patronymes [libre] Vie et mort des patronymes [libre] Icon_minitimeLun 11 Mar - 20:05

« J'ai tué cet homme parce qu'il avait effectué des actes d'une barbarie insensée, et qu'il avait ruiné toutes les secondes chances qu'on lui avait offert. Il n'a pas eu de duel à la loyale, en effet, et il a eu une mort extrêmement douloureuse, mais pas plus que ce qu'il a fait subir à d'autres êtres, à la différence que ceux-ci étaient innocents. »

Un écolo extrémistes ? Nazo n'aimait pas aller trop vite en besognes, mais ce genre de thèses étaient celles de mouvements dont il avait entendu parler, et qui sévissaient à Unys depuis quelques années. En effet, ces termes utilisés étaient exactement ceux utilisés par ceux qui agissait selon cette idéologies. Tout les termes réthoriques étaient présent. Parler de « créatures innocentes » pour établir l'absence de capacité à être des « agents moraux » - quoique de nombreux rapports d'études semblent tendre à indiquer que les pokémons aient des capacités à avoir des formes de comportements rationnels, ce qui les rangeraient alors dans la classe des êtres rationnels, et feraient d'eux des « agents moraux » (et plus des patients moraux, dans le sens ou ils seraient actifs et non plus passif). Il avait vu cette thèses dans les écrits d'une sorte de type bizarre, métaphysicien, physiciens, théologiens et philosophe de la morale. Mais en tout cas, ce genre de thèses – si elle n'allaient pas forcément dans le sens de ces mouvements : Elles classaient les pokémons en agents moraux et du coup toute la rhétorique de l'être innocent s'effondrait.

Mais alors, tuer le moindre pokémon deviendrait alors un acte de meurtre. Nazo adhérait vaguement à ce genre d'hypothèse. Le seule problème était que cela forceraient tout le monde à être végétarien. En effet, si les pokémons étaient des êtres moraux, et donc presques des humains sur tout l'aspect morale, manger des pokémons deviendrait impossible parce qu'étant une forme de cannibalisme. Du coup, Nazo – s'il connaissait toutes ces considérations morales – préférait rester en dehors de ce genre de combat. Il y avait trop d'idéologies plus ou moins intéressé. Entre les accusations d'un financement de la team plasma par des lobby vendant le tofu, le soja et autres produits pour végétariens.

En tout cas, une chose était sûr : Ce type était contre les combats à mort. Donc, il était plus ou moins dans le même camp, sur ce point là. De plus, il semblait plutôt sincère, à ce qu'en jugeait le policier. Une bonne chose.


« Je ne conteste pas que ce que vous ayez fait puisse être considéré comme un « juste retour », selon cette foutue loi du talion. Mais ce qui me les brisent plus, vous voyez, c'est que ce type, on faisait une enquête dessus, et avec les éléments que nous gardons dans nos bureaux, ce qu'on pouvait faire, c'est épingler toutes les ordures dans son genre. Le réseau. En effet, avec plus ou moins de moyens, on avait de quoi lui faire donner pleins de noms. Mais c'est pas lui qui nous intéressait surtout. C'est ce que ceux qu'on aurait avoueraient en voyant qu'on l'a eut lui aussi. Vous voyez. Dire « nous on est moins terrible que lui, on vous dit tout », dans le but d'avoir une réduction de peine. »

L'agent des forces spéciales avait envie de s'allumer une clope. Non pas par provocation, mais juste parce qu'il était en manque de nicotine. L'ambiance était trop « calme » pour la situation actuelle. Sa collègue ayant pour le moins les nerfs à vif – et c'était pour cela que l'agent des forces spécial n'avait pas réagit à ce qu'elle avait dit : trop de risque de provoquer une dissension.

« Evidemment, ils ne l'auraient pas eut, c'est pas nous qui jugeons. »

Nazo venait limite d'avouer que dans sa section, ils utilisaient des moyens que l'on pouvait lier à ceux des teams. Mais bon, il n'y avait pas réfléchit, et ne pensait pas que l'un de ces interlocuteurs penserait à cela.

« Et maintenant, que comptez-vous faire ? M'arrêter ? Ce serait inutile. Même si vous parveniez à me capturer, je n'aurais pas de mal à m'évader, j'ai des connections, à Johto comme ailleurs. Autant ne pas gâcher notre temps, j'ai personnellement beaucoup d'autres choses à faire. Et je suis persuadé qu'avec la menace grandissante de la Team Rocket, vous aussi. Restons-en là. »
- Non, justement, n'en restons pas là, répondit l'agent spécial. Vous connaissez la loi du talion très bien, il me semble : Pour une dent, une dent. Vous nous avez fait perdre de quoi avoir pas mal de ces psychopathes des combats à mort. Donc, vous nous devez une aide pour en capturer d'autres pour réussir à mettre nos plans à exécutions. »

Nazo se tourna vers sa collègue. Evidemment, elle, le deal que Nazo tentait de faire ne l’arrangeait pas, elle. Contrairement aux agents de la fédération des régions, des agents des forces spéciales ou des agents régionaux, elle n'était payé qu'au criminel capturé. Elle n'avait pas un salaire à la fin du mois. D'ailleurs, Nazo se demandait si les chasseurs de primes connaissaient l'enfer qu'étaient les bureaux des forces de polices. Quoique, il y avait peu de chance, à part peut être s'ils devaient subir la bureaucratie à chaque fois qu'ils recevaient leur paie... Ou alors en recevant leur licence.

« Je suis désolé pour vous, mademoiselle Aria, mais je pense que si notre cher interlocuteur accepte, vous gagnez largement au change si vous participez à l'arrestations de tels criminels, parce que ce ne sont pas sur les listes de la police régionale qu'ils figurent, mais des forces de la nation. »
Revenir en haut Aller en bas

Messages : 61


Vie et mort des patronymes [libre] Empty
MessageSujet: Re: Vie et mort des patronymes [libre] Vie et mort des patronymes [libre] Icon_minitimeMer 13 Mar - 9:46

"Encore faudrait-il que tu aies les moyens de me capturer."

Il n'avait pas froid aux yeux. C'était déjà ça. Aria appréciait particulièrement. C'était son petit côté peste et sûr d'elle qui faisait ça. Mais bon... En tout cas, le fameux Richter, même si elle ne connaissait nullement le nom du fameux commandant de la team Plasma, tout comme son appartenance, la regardait avec un calme presque surnaturel. Bien sûr, Aria avait bien comprit que le commandant de la Team Plasma était dans une bien meilleurs positions qu'elle. Non seulement, ils avaient tout les deux, elle et Alexandre, perdus leurs armes de services, mais en plus, elle savait bien qu'en cas où un commandant Pokémon débuterait, il faudrait que le fameux Alexandre soit très fort. Car ses pokémons à elle, n'étaient presque que des « bébés pokémons ». Bien sûr, Pijako n'était pas inutile pour autant, et discrètement caché, regardait ses adversaires.

La suite de la discussion ne l'intéressa pas le moins du monde, sérieusement. Aria s'en « fichait » de savoir ce qui était juste ou pas. Elle faisait son travail. La loi interdisait le meurtre, donc, les criminels qui commettait cette acte, devaient être eux aussi punis. C'était comme ça. Et on ne pouvait rien n'y faire. La loi était la même pour tous. Bien sûr, c'était ironique d'entendre Aria dire cela, comme cette dernière voulait elle-même l'arrestation et la mort des membres de teams, mais la chasseuse de prime, affilié aux forces de polices internationales, était souvent adepte du « faîtes ce que je dis, mais ce que je fais. » Moralement, tout cela était discutable, si vous voulez mon avis, et Aria avait besoin de beaucoup de mauvaise foi pour que son argumentation de s’écroule pas tel un maigre château de carte.

L'argumentation de son collègue improvisé tenait, néanmoins. Le coup de chopper tout le réseau était alléchante, mais la chasseuse de prime savait qu'elle ne pourrait pas se partageait à elle seul un tel Bifteck. C'était trop gros. Et puis, impossible maintenant, surtout que ses trouillards, Aria le sentait bien, devait sans doute maintenant, enfin dès qu'il apprendrait la mort de leur colllègue, fuir aisément, et se cacher le plus rapidement possible par peur de subir le même sort quelque peu enviable qu'était la mort. Mystérieusement, les gens n'appréciaient pas trop cela, pour des raisons qui me sont encore inconnu, mais dont je ne saurais bientôt vous expliquer clairement. En tout cas, effectivement le vengeance avait se défaut-là, et cela fit presque réfléchir la jeune demoiselle au kimono qui pensait qu'éventuellement cela pourrait aussi la concerner. Soudainement ;, la suite du dialogue tiqua chez la demoiselle :


« Et maintenant, que comptez-vous faire ? M'arrêter ? Ce serait inutile. Même si vous parveniez à me capturer, je n'aurais pas de mal à m'évader, j'ai des connections, à Johto comme ailleurs. Autant ne pas gâcher notre temps, j'ai personnellement beaucoup d'autres choses à faire. Et je suis persuadé qu'avec la menace grandissante de la Team Rocket, vous aussi. Restons-en là
- Non, justement, n'en restons pas là, répondit l'agent spécial. Vous connaissez la loi du talion très bien, il me semble : Pour une dent, une dent. Vous nous avez fait perdre de quoi avoir pas mal de ces psychopathes des combats à mort. Donc, vous nous devez une aide pour en capturer d'autres pour réussir à mettre nos plans à exécutions. »


Bon. Les connections, c'était bien gentil, pensa la demoiselle, mais cela ne savait pas toujours la vie. Elle pensait que même avec les meilleurs connections de monde, on en pouvait entraver la machine de justice, si elle était lancé. Une aide ? D'un criminel ? Pourquoi pas, si cela permettait d'être plus efficace, pourquoi pas. Cela était plausible. Mais ce n'est sur cela que tiqua la chasseuse de prime. Bien moins bavarde que son collègue, elle ne répondit pas sur le coup. Attention, elle était bien plus bavarde, sans doute qu'Alexandre, mais je dis cela dans le sens où elle était bien moins bavarde quand il s'agissait de faire de longues discours philosophique et incompréhensible. Moi, ironique ? Absolument pas. Ce n'était pas mon genre. Ainsi, avant qu'Aria puisse dire la moindre chose, Alexandre lui déclara :

« Je suis désolé pour vous, mademoiselle Aria, mais je pense que si notre cher interlocuteur accepte, vous gagnez largement au change si vous participez à l'arrestations de tels criminels, parce que ce ne sont pas sur les listes de la police régionale qu'ils figurent, mais des forces de la nation. »

« Attend. J'ai deux mots à dire à notre ami. »


Pijako, du haut de son arbre, le sentait mal. Très mal. Le perroquet était l'un des rares pokémons qui connaissait parfaitement le langage humain, et connaissait tout autant sa maîtresse. Quand elle était comme ça, c'est qu'elle avait entendu parler de team. Et quand elle entendait parler de team... Cela ne se passait jamais bien, et il sentait bien que cela allait devoir être lui qui allait devoir réparer les pots cassés. Génial. Il avait l'habitude. Ainsi, Aria, fortement mécontente, mais pas contre Richter, et encore moins contre Alexandre, s'approcha un tout petit peu vers le commandant de la team Plasma, pour se mettre en avant, et faire comprendre que là, c'était elle l'interlocutrice envers lui, et déclara, d'une voix forte, et qui voulait être bien assuré :

« Que connais-tu sur la Team Rocket... ? Tu les combats, toi aussi ? J'exige que tu nous donnes les renseignements que tu possèdes. Là, j'accepte de fermer les yeux sur tes actes, car après tout, j'ne suis pas affilié directement à la justice. »

Elle fit une pause. Elle ne voulait absolument pas énerver le fameux Alexandre, qui était légèrement derrière maintenant. Elle était pour la justice, là, il n'y avait pas de doute, mais elle voulait absolument, et prioritairement arrêter les teams. Bien sûr, encore une fois, elle savait qu'elle pouvait paraître bien prétentieuse, menaçant presque Richter, alors que comme dit précédemment, elle n'avait plus son arme, et le Spectrum a lui tout seul était sans doute plus puissant que Chaglam et Pijako, donc... Mais en même temps, il fallait qu'elle montre qu'elle n'avait pas peur, et qu'elle était déterminée. Les teams ne survivraient pas à ses actions. Cela pouvait paraître bien prétentieux, cela l'était sûrement, mais tant pis. Ainsi, après cette courte pause, car rappelez-vous, les amis, un long paragraphe peut très bien couvrir qu'une courte période de temps, elle reprit :

« Je lutte contre les teams. Tout renseignements peuvent m'être utile. Si Alexandre est d'accord avec moi, on peut te laisser partir si tu collabores, voir même fermer les yeux sur tes actes. »

Là, on pouvait enfin avoir une image un peu plus positive de la jeune dame. Certes, elle luttait avant tout contre les teams, quitte à bafouer les lois, mais elle ne le ferait qu'en collaboration avec Alexandre. Après tout, elle n'allait pas se permettre de choisir pour lui. L'autre qualité, ou défaut, car tout dépendait du point de vue, c'était sa confiance, ou son innocence. Elle était sûr qu'on pouvait collaborer avec le fameux Richter, s'ils avaient un but commun. Vaincre la team Rocket. Richter avait sortir le bon appat pour attraper Aria. Parler de teams, et de suite elle oubliait tout le reste. Cela inquiétait plutôt Pijako. Certes, il avait des plumes en quantité, mais arriverait-il à jouer toujours le rôle d'ange gardien... ? Cela n'était pas sûr, si vous voulez mon avis...
Revenir en haut Aller en bas

Messages : 90


Feuille de personnage
Equipe Pokémon:
Age: 28
Citation préférée:

Vie et mort des patronymes [libre] Empty
MessageSujet: Re: Vie et mort des patronymes [libre] Vie et mort des patronymes [libre] Icon_minitimeMer 13 Mar - 21:47

- Non, justement, n'en restons pas là. Vous connaissez la loi du talion très bien, il me semble : Pour une dent, une dent. Vous nous avez fait perdre de quoi avoir pas mal de ces psychopathes des combats à mort. Donc, vous nous devez une aide pour en capturer d'autres pour réussir à mettre nos plans à exécutions. »

Richter demeurait là, debout devant le centre Pokemon, Spectrum toujours à ses côtés, la mine intéressée par ce qui se disait. Le commandant Plasma écouta également attentivement les paroles de son interlocuteur. Ce dernier marquait un point, un tel criminel devait avoir des complices, un réseau entier, à l'instar d'une mafia, qui s'enrichissait avec la souffrance, et parfois la mort de créatures innocentes. Cette simple idée le révulsa profondément, mais, comme d'habitude, il ne laissa rien paraître. Mais il comptait bien s'occuper de ces assassins, tôt ou tard. Restait alors une interrogation : Allait-il accepter de travailler avec les FPI ? Non, clairement, il n'en avait pas envie, pour la simple raison qu'ils pourraient facilement découvrir son appartenance à une Team. Mais alors qu'il allait répondre à Nazo, ce dernier lança à sa co-équipière :

« Je suis désolé pour vous, mademoiselle Aria, mais je pense que si notre cher interlocuteur accepte, vous gagnez largement au change si vous participez à l'arrestations de tels criminels, parce que ce ne sont pas sur les listes de la police régionale qu'ils figurent, mais des forces de la nation. »

« Attend. J'ai deux mots à dire à notre ami. Que connais-tu sur la Team Rocket... ? Tu les combats, toi aussi ? J'exige que tu nous donnes les renseignements que tu possèdes. Là, j'accepte de fermer les yeux sur tes actes, car après tout, j'ne suis pas affilié directement à la justice. Je lutte contre les teams. Tout renseignements peuvent m'être utile. Si Alexandre est d'accord avec moi, on peut te laisser partir si tu collabores, voir même fermer les yeux sur tes actes. »

La jeune femme semblait avoir un avis différent, il allait peut-être être plus difficile de la convaincre. Et surtout, elle voulait en savoir plus sur lui, pas bon, ça, Richter ne dévoilait jamais rien aux inconnus, et encore moins à des agents des FPI, mais il prit quand même la peine d'écouter cette Aria. Et celle-ci voulait des renseignements sur les Teams, évidemment, tous ces criminels qui se bagarraient, elle pouvait se faire un nom en en arrêtant quelques membres. Mais que ferait-elle si elle apprenait que lui-même faisait partie d'une Team ? très différente des autres, mais une Team quand même. La menace d'Aria ne l'impressionna guère, mais il répondit néanmoins, sur un ton détaché, et plutôt sincère :

"Je n'en sais que ce que j'en ai lu dans les journaux, que la Team Rocket s'attaque à toutes les régions, et que son chef semble extrêmement puissant, puisqu'il aurait vaincu le maître de la ligue de Hoenn, d'après les rumeurs. Mais, ça, vous devez déjà le savoir. En revanche, je pourrais vous donner plus d'informations sur la Team Galaxie.

Voilà ce que je vous propose, continua Richter en s'adressant aux deux autres individus, je vous donne ces renseignements, et vous me dites ce que vous savez au sujet de ce type, et de son réseau. J'ai les moyens nécessaires pour démanteler un tel groupe. En revanche, je ne peux travailler avec vous pour des raisons qui ne regardent que moi."

Voilà, Richter avait fait son offre, maintenant, c'était à prendre ou à laisser, à moins que les agents aient d'autres propositions. Mais le commandant se trouvait déjà assez gentil de leur donner ses infos au sujet des Galaxies, et de Gilgamesh en particulier, et en plus de s'occuper de ce réseau de criminels. Evidemment, il ne pouvait être complètement d'accord avec ses interlocuteurs, il souhaitait s'en occuper seul, ou avec la Team Plasma. Son alliance avec les FPI serait trop dangereuse pour lui, d'autant plus qu'il ne souhaitait pas faire équipe avec des dresseurs. C'était une offre claire et plutôt intéressante, jugeait-il, il débarrasserait le monde de ces âmes perverties et condamnées, ce qui permettrait de sauver bon nombre de pokemons. Dans l'esprit du chevalier, ça semblait un bon marché, mais il était probable que les agents ne soient pas du même avis.
Revenir en haut Aller en bas



Vie et mort des patronymes [libre] Empty
MessageSujet: Re: Vie et mort des patronymes [libre] Vie et mort des patronymes [libre] Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas

Vie et mort des patronymes [libre]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut

Sujets similaires

-
» Une mort parmi d'autres [ Oneshot, mort d'Adria ]
» capture des plus difficile ...(libre et encore libre)
» Mort d'un homme et naissance d'un pouvoir [Link Kevin]
» La mort au bout des lèvres.
» A deux doigt de la mort ... [PV : Shiruyasha]
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Shinka no Kizuna :: L'aire de repos de tout aventurier :: Corbeille :: RP archivés sur demande-