Négociation [PV Kamiko]

**Sylvia Von Wittelsbach** · **Sylvia Von Wittelsbach**

« Mademoiselle...?
-Mmh...? »

Il faisait beau. La région d'Unys était globalement ensoleillé. Bref, un beau temps. C'était bien. Il faisait beau, les oiseaux brillaient, le soleil chantait... Heu.. C'est pas l'inverse d'habitude...? Si si, je pense. Donc, j'dois être en train de me gourer quelque part. Mais où...? Tel est la question. Et je vais tenter d'y répondre... Il n'y avait pas d'oiseau ! Nous sommes dans Pokémon ! Hahahah ! C'est des Poichigeons ! Hahahaha ! Bon, j'vais me calmer un peu. Ainsi, le temps était vraiment plutôt correct. Le jet privé de la famille Von Wittelsbach était ainsi dans la zone d'atterrissage, et approchait, sans aucun problème, vu que le temps n'en n'était pas un. Un temps parfait pour des captures de pokémons même ! Quoi de mieux qu'une petite capture de pokémon pour mieux se détendre.

« Mademoiselle Von Wittelsbach, nous sommes arrivés à destination. C'était pour...
-Cinq minutes ! »

Le Stewart soupira. Il devait absolument faire sortir la petite Sylvia Von Wittelsbach. Elle était après tout la quatrième fille du célèbre Edgar Von Wittelsbach, célèbre industriel, dont la richesse n'était plus à faire. Elle était entrain de dormir sur son canapé du Jet privé de la famille. Sale gosse de riche. C'est pas Gawain qui l'apprécierait. Non. Loin de là. Elle voyageait comme ça, c'était plus rapide. Et puis, elle était quand même la célèbre Sylvia Von Wittelsbach. La génie de la capture de pokémon. On racontait des ragots sur elle, comme quoi elle aurait déjà fini de remplir les pokédex nationaux de toutes les régions, que son Ranch serait maintenant trop petit pour contenir tout ses pokémons, que son excentricité serait lié au fait qu'elle aurait échouer dans la capture d'un pokémon. Bref, tout ses ragots qui plaisaient à ses parents, car ça leur rapportait beaucoup.

« Mademoiselle... Il risque de partir.
-Ouais, ouais. Je descend. »

La jeune fille sauta de son canapé, qui avait servit de lit, attrapa son bâton de mage, qui était enfaîte uniquement un béton de marche, et sortit de Jet. Heureusement qu'elle avait son grand chapeau, car le soleil tapait fort. Elle était pour le moment dans la ville de Janusia. Une très chouette ville. Dans cette région, disons, que notre fameuse Sylvia découvrait un peu tout, car elle n'était jamais auparavant allé, dans cette grande région du monde. C'était que de la découverte. Et elle en était bien contente. C'était la première fois que ses parents lui autorisaient cette région, elle devait absolument en profiter. Le plus possible.

Enfin, elle n'était pas là pour une capture. Enfin, si mais non. Ce n'était pas tant une capture. Oh, laissez-moi vous expliquer, histoire de clarifier tout cela. Alors, disons que notre chère Sylvia regardait bien la télévision. Quoi ? Ce n'est pas plus clair ? C'est normal, je n'ai pas fini. Ainsi, notre chère Sylvia avait regardé la retransmition en direct d'un concours Pokémon mondial qui se serait passé à Nénucrique. Armé d'une bonne boite de Pop-Corn, elle avait regardé les fameuses représentations de tout ses artistes accompagné de leur pokémons. Et elle avait vu les Pokémons surtout. C'était Sylvia. Vous vous attendiez à quoi. Et elle avait tout de suite flashé sur un magnifique Absol. Déjà, le pokémon en lui-même était rare... Mais là, ce n'était pas un Absol normal. C'était bien plus qu'un Absol normal.. C'était un superbe Absol noir ! Elle en avait jamais vu de tel.

Il n'y avait pas photo. Elle termina son Pop corn, car le Pop corn c'est sacré, et fonça. Elle voulait cet Absol Noir. Il était magnifique ! Elle avait jamais vu d'aussi beau Absol de sa vie. Elle le voulait. Et là, les domestiques et la gouvernante de Sylvia se regardèrent en soupirant. Ils allaient devoir trouver ce fameux coordinateur, s'il voulait que la collectionneuse cosplayée en mage se calme, et ne les énervent pas trop. Les rumeurs étaient allé de bons trains. Finalement, ils réussissèrent à le localiser grâce à divers Ragots dans le fameux pont du hameau. C'était donc là qu'il vivait, ou en tout cas, qu'il se trouvait. La fameuse collectionneuse s'y dirigea d'un pas assuré, entouré de ses deux gardes du corps. Cela était assez cocasse à voir, car ses fameux Gardes du Corps faisait bien quarante centimètres de plus que les un mètre soixante de Sylvia. Ils arrivèrent alors vers le pont, et Sylvia déclara :

« Je le vois ! Il est la bas ! Laissez-moi seul avec lui. »

Les deux gardes du corps, totalement professionnel, n'obéirent pas alors à la jeune fille, et l'escorta jusqu'au fameux coordinateur et dresseur. Elle était prête. Elle aurait ce fameux Absol, quoiqu'il, arrive. Sylvia était, du genre... Déterminé. Et quand elle voulait quelque chose... Elle avait cette fameuse chose. Quoiqu'il arrive. Ce n'était pas Sylvia Von Wittelsbach qui abandonnerait un aussi précieux pokémon. Surtout dans les mains d'un dresseur. Il risquait de blesser cette véritable oeuvre d'art de la Nature... Ce qui est absurde en soi, vu que c'est l'être humain qui créer des oeuvres d'art. L'art est uniquement une création humaine, et ne peux être donc créer par la Nature. On parle plutôt alors de beauté naturel, mais pas d'oeuvre d'art. L'art présuppose l'existence humaine. Ce sont les théories d'Hegel. Et cela n'a rien à voir avec notre RP !

« Enchanté. Kamiko Soulight ? Je suis Sylvia Von Wittelsbach. Quatrième héritière de ma famille, et surnommé « La genie de la Capture. ». Je suis ici pour parler affaire. »

Ouh là ! C'était vraiment une fille de quinze ans qu'on avait devant les yeux ! Car là, j'ai des gros doutes ! Sylvia était étrange comme fille, je l'admet, surtout car elle se concentrait sur la capture des pokémons rare, et presque uniquement cela, mais là, c'était carrément bizarre de sa part ! Elle était très sérieuse, et n'avait pas envie de rigoler. Elle voulait que la transaction soit simple, bref, et efficace. Elle avait les pokéballs de son Insolourdo et de son Leveinard, comme d'habitude, mais elle ne serait sans doute pas apte à un véritable combat pokémons. Elle ne savait pas se battre en combat pokémons. Ceux-ci ne s'était jamais battu. Ses captures étaient seulement le fruit de pièges de coups fourrés, la spécialité de Sylvia. Maintenant, il fallait voir la réaction de Kamiko. Elle avait hâte.

**Kamiko Soulight** · **Kamiko Soulight**

Le pont du hameau, toujours aussi utile à tout artiste pour trouver l'inspiration, même quand il en manque... Il suffit que j'ouvre la fenêtre de ma toute nouvelle propriété et que je siffle:
"Si la sol, si la sol, si la sol, sol la sol.
Si la sol, si la sol, sol la sol."

Pour que les échos de chant ou de guitare me donnent
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien].

Notant de nouvelles notes pour cette musique, et cherchant de nouvelles composition pour d'éventuels futurs concours, je me met en scène, avec Gardevoir seule qui danse aussi doucement au rythme de la musique, utilisant par moment Reflet ou Feuillemagik pour s'assurer ou non de la correspondance du moment.

Tour à tour, ce fut Laggron, Airmure (échec cuisant, car ne sachant pas vraiment danser.) Absolute Dark, qui elles ne s'en tiraient pas trop mal, comme à leurs habitudes. Puis vient Aircanine. Après sa tentative, on fait à chacune un toilettage. Les masseurs et masseuses étant très peu nombreux dans les régions, les coordinateurs devaient impérativement savoir procéder soi-même. Après être désormais toutes bien propre sur elles, je décide de faire un tour à l'extérieur avec Gardevoir - qui semblait singulièrement contente de sortir - et Aircanine. Ce fut à une dizaine de mètre de mon chez moi qu'une voix dit, au loin:
- Je le vois ! Il est la bas !

J'allais devoir faire face à ce que certains coordinateurs appèlent... La célebrité. Un coordinateur suffisament talentueux avec un pokémon classé "très" rare allait sans doute devoir s'attendre à l'arrivée massive de collectionneur acharné.

Une jeune femme avec deux malabars s'approchèrent. La jeune femme était... étrange. Elle portait une tenue que j'ai déjà eu l'impression de voir ailleurs, d'autant plus qu'elle avait un bâton assez étrange. Apparemment, elle semblait vouloir quelque chose, et les deux malabars étaient sans doutes ses bodygard. Les deux mètres qu'ils avaient de hauteur n'impressionnaient ni Gardevoir, ni Aircanine.

Puis, elle se mit à parler:
« Enchanté. Kamiko Soulight ? Je suis Sylvia Von Wittelsbach. Quatrième héritière de ma famille, et surnommé « La genie de la Capture. ». Je suis ici pour parler affaire.

Je sais pas pourquoi, mais j'ai la même impression que la fois où j'ai croisé Alice Taylor, Leader Aqua... "Le Papilusion s'approchant de la Toile invisible d'un Migalos affamé."
Du tac au tac, je lui dit, assez abrutp:
- Vous m'avez bien en face de vous, en effet. Malheureusement, Je n'ai nullement l'intention de prétendre à un titre, encore moins celui de la Capture. Aussi, je ne pense pas que nous ayons une quelconque affaire à traiter ensemble.

Bang!
L'héritier de la famille Soulight venait lui aussi de montrer verbalement une petite bride de ses connaissances Aristocratique.
Toutefois, je dois reconnaître que j'ai été un peu cru. Aussi, je rajoute:
- Si toutefois, votre "affaire" n'a rien à voir avec cela, je puis vous inviter à vous restaurer dans ma présente demeure.

J'attendais désormais une réponse de la part de la jeune fille habillée en mage.

**Sylvia Von Wittelsbach** · **Sylvia Von Wittelsbach**

Sylvia était prête pour la négociation. Elle était bien contente, et comme d'habitude, prêcher d'assurance pour avoir l'Absol. Elle était presque sûr qu'elle allait y arriver. Elle était Sylvia Von Wittelsbach. Non que son nom était très utile, mais il était preuve d'orgueil. Il était preuve qu'elle avait réussi à être quelque chose de très critiqué, une collectionneuse de Pokémon, dans un monde ultra fermé. Ainsi, son nom devenait source d'orgueil non pas pour la raison dont tout le monde penserait genre « fille à papa », même si Sylvia l'était de temps en temps, mais car justement, elle avait brisé les conventions, qui normalement, la condamné à être une petite fille qui allait grandir dans un cocon, et au final, se marier avec celui-qu'on voulait pour elle. Non, elle avait réussi à sortir de cela. Et elle était maintenant une collectionneuse connu, et une coqueluche des paparazis, comme une des enfants les plus talentueuses de ce siècles; Moitiés de ses slogans étant crée de tout pièces par sa famille.

Vous m'avez bien en face de vous, en effet. Malheureusement, Je n'ai nullement l'intention de prétendre à un titre, encore moins celui de la Capture. Aussi, je ne pense pas que nous ayons une quelconque affaire à traiter ensemble.

« Eheheh... »

La jeune fille laissa échapper un rire, face à le remarque du fameux coordinateur. Il ne prétendait donc à aucun titre... Le pauvre... La collectionneuse déclara alors :

« Ta vie doit être bien ennuyante, si tu n'as aucune estime de toi. Ou aucune ambition. Ou les deux, je ne sais pas. »

Elle laissa échapper cela avec aucun rire moqueur. Non, c'était du simple constat. Mais de suite, alors qu'en vrai, Sylvia n'avait rien demandé, ses deux gardes du corps se préparèrent à la défendre contre tout les pokémons; au cas où la remarque serait mal prise. Au regard étonné de la fameuse Sylvia, on pouvait comprendre qu'elle même n'était pas très contente, ni très satisfaite, de cela. Elle n'avait rien demandé ! Ils se permettaient dis donc beaucoup, pensa la fameuse collectionneuse aux cheveux rose bonbon... Elle devra le faire un Topos sur ce qu'elle pensait, bientôt; Après, on s'étonnait qu'on la traite de fille de riche. Avec deux gorilles comme ça, ce n'était pas si étonnant... En tout cas, elle écouta alors la déclaration de Kamiko, après sa déclaration à elle :

Si toutefois, votre "affaire" n'a rien à voir avec cela, je puis vous inviter à vous restaurer dans ma présente demeure.

« C'est très gentil à vous ! Vous restez là, messieurs
-Mais...!
-J'ai dis, vous restez là. »

Elle déclara cela d'un ton sec, ce qui fit que le colosse poussa un long soupir, mais laissa la fameuse collectionneuse de pokémon suivre Kamiko... Cependant, il surveillait bien, de l'extérieur. Il savait bien que si la fameuse collectionneuse n'avait ne serait-ce qu'une égratignure sur le visage, et il se ferait virer, jeter dehors, et avec sans doute un bon procès au fesses. Donc, il devait faire attention, lui, et son collègue, à ce que la petite Sylvia Von Wittelsbach ne reçoit rien du tout, une fois dans cette fameuse maison. Et s'ils trouvaient quoi que ce soit, un tout petit louche... Il défonceraient la porte, et sauveraient la gamine... Même s'il n'y avait aucun danger.

En tout cas, Sylvia, elle, était entré dans la fameuse maison, c'était assez grand. Bon, bien sur, c'était assez grand pour la plupart du commun des mortelles. Pour Sylvia, c'était ridiculement petit. D'ailleurs, une petite réflexion personnel à se sujet. Les riches qui ont des palaces entiers... Il le remplisse comment ? Car franchement... Enfin, au bout d'un moment, t'as plus rien à mettre. Voilà, c'était juste le temps d'une petite réflexion. Ainsi, elle regarda la maison. C'était pas sympathique, mais drôlement vide. C'était la principal remarque qu'on pouvait faire. Posant la malette qu'elle portait à bout de bras gauche, son bâton de mage étant porté par son bras droit, elle déclara, plutôt satisfaite :

« C'est vachement cool chez toi ! Tu viens d'emménager ? »

Ah, tout de suite, sans ses gardes du corps, Sylvia se lâchait, et parlait de manière tout de suite moins aristocratique, presque normal, même, je dirais. Elle s'installa sur un canapé fraichement installé, sans plus d'autorisation, car elle avait tendance à se croire tout permis la gamine. Elle retira, cependant, son grand chapeau de mage, libérant ses cheveux roses, car elle était à l'intérieur d'une maison. Après tout, il était normal de retirer son chapeau quand on entrait dans une maison... Plus encore quand c'était pour négociation et un repas. Cela tombait bien, car notre fameuse collectionneuse avait faim. Très faim. Elle hésita un peu, d'abords, ne savant pas trop comment le tourner sans paraître grossière et impolie, alors qu'elle avait été invité, et que cela était logique de sa part, et finalement, déclara :

« En tout cas, c'est sympathique de votre part. Discutez affaire est bien plus sympathique devant un repas. »

Elle déclara cela, il faut l'avouer, un petit peu maladroitement. Elle ne savait pas trop comment faire, n'étant pas trop habitué, à parler avec d'autres gens de la noblesse. Oui, bon. Sylvia, car elle voyait que Kamiko était un coordinateur, le prenait tout de suite pour un noble, ou du moins, quelqu'un dont elle devait le respect. Elle était dans une ambiance paradoxal, où elle hésitait entre la sympathie, car ils étaient après tout, tout les deux des amateurs de Pokémons, de manière différente, et le profond respect, comme elle était après tout, une gamine de quinze ans, qui venait parler d'affaire avec un presque adulte de presque dix-huit ans, qui lui était connu pour ce qu'il faisait, et non pour être une petite génie, encore sous les crochets de son père. Maintenant, il fallait voir comment le fameux Kamiko allait réagir. Sa proposition n'allait pas tarder.

**Kamiko Soulight** · **Kamiko Soulight**

Les joutes verbales pouvaient commencer... Si l'on puis dire ainsi:

- Vous m'avez bien en face de vous, en effet. Malheureusement, Je n'ai nullement l'intention de prétendre à un titre, encore moins celui de la Capture. Aussi, je ne pense pas que nous ayons une quelconque affaire à traiter ensemble.
Bien entendu, J'étais très abrupt dans ses dires. Je disais ne prétendre à aucun titre, et ce n'était qu'à moitié vrai. Si je refuserai les titres comme "génie de la capture", je ne cracherais certainement pas sur les titres officiels, tels que top coordinateur, top dresseur, Champion, Génie Extrême ou encore Maître Pokémon.

Ce que je refusait donc, c'était les titres éphémère comme celle de la fille en face de moi.

Sur ce, elle répondit:
- Eheheh... Ta vie doit être bien ennuyante, si tu n'as aucune estime de toi. Ou aucune ambition. Ou les deux, je ne sais pas.

Ma remarque à été interprétée comme elle a été envoyée.

Les deux malabars eux, s'était préparés à une quelconque tentative d'agression, mais ce genre de remarque ne me concernant qu'a demi-mot, je l'ignore totalement.

- Si toutefois, votre "affaire" n'a rien à voir avec cela, je puis vous inviter à vous restaurer dans ma présente demeure.

Haha... Qu'est ce que le "language noble" pouvait nous faire sortir comme ânerie... Une "Demeure"? Ce n'était qu'une maison comme les autres, mais pour donner ine meilleure impression de "puissance", les mots devaient être déformés..

- C'est très gentil à vous ! Vous restez là, messieurs
-Mais...!
-J'ai dis, vous restez là.

Voila donc qu'elle m'accompagna seule à... une dizaine de mètre.

Elle posa la malette qu'elle tenait à bras avant de dire en regardant l'état des lieux:

- C'est vachement cool chez toi ! Tu viens d'emménager ?

Elle avait relaché sa politesse, ce qui était une bonne chose pour elle, puisqu'ainsi, je me mettrait moi aussi à cesser le language noble. Ainsi, on pourrait avoir une meilleure discussion.
Pour ce qui est de la maison, je lui dit simplement, d'un air presque rêveur:
- En effet. J'ai pris cette maison dès que j'ai entendu les chanteurs du coin.

Puis, elle s'asseoit en attendant ma "restauration".
Problème donc! Je ne sais cuire que des pizzas... La laissant toutefois cuire au four, je m'approche d'elle et dis:
- J'espère que la pizza te convient, car je n'ai que cela.

Aircanine étant partie grignotter un des bout de bois qu'elle avait déniché sur on ne sait quel arbre et Gardevoir s'occupant de regarder cuire la pizza pendant qu'elle répondait, je dis par la suite:
- Alors, cette "affaire". C'est pour quoi?

**Sylvia Von Wittelsbach** · **Sylvia Von Wittelsbach**

Sylvia était ainsi paisiblement installé dans le canapé de son hôte, prenant ses aises. Elle était souvent comme ça quand elle était chez quelqu'un. Elle estimait qu'elle avait entièrement le droit de le faire; Après tout, elle n'était pas n'importe qui. Elle était la célèbre collectionneuse de Pokémon, et héritière de l'une des familles les plus importantes et les plus riches du Globes, Sylvia Von Wittelsbach. Donc, elle avait entièrement le droit de faire ce qu'elle voulait ! Et oui, elle était un peu une sale gosse de riche, si vous voulez mon avis. Une sale gosse de riche, qui avait la mauvaise tendance de se croire tout permit. C'était Sylvia. Il ne fallait pas chercher. Elle était connu pour ne pas apprécier du tout les gens qui tentaient de la restraindre dans ses libertés, c'est pour cela que dès le début, elle faisait comme chez elle. Soudainement, elle entendit donc le fameux coordinateur dont elle devait faire affaire déclarer :

En effet. J'ai pris cette maison dès que j'ai entendu les chanteurs du coin.

Elle hausse les épaules, preuve qu'elle n'avait pas trop comprit. Il y avait une salle de concert dans le coin ? Peut-être qu'il était amateur de bonne musique, c'était probable même. Elle ne connaissait pas du tout la région, donc, voilà quoi. Inutile pour elle de tenter de deviner. Elle pensa rapidement à Ludwig, son petit frère. Il était chanteur compositeur interprète, et spécialiste en plein d'instruments... Il faudrait presque les faire rencontrer. Tient;.. Cela pouvait éventuellement une manière d'obtenir le fameux Absol... Et oui, Sylvia ne perdait jamais le nord, et pensait toujours à ses objectifs. Et là, son objectif était d'avoir son futur Absol noir. Elle pensait à lui, et était presque déjà sur de sa victoire prochaine. Elle savait parfaitement argumenté, et cela allait être bien utile. Elle était presque sûre qu'elle allait gagner... Elle savait faire avec ce genre de gens en plus. Soudainement, elle entendit :

J'espère que la pizza te convient, car je n'ai que cela.

« Pizza ! Ca me convient parfaitement ! »

Elle avait hâte, car elle commençait vraiment à avoir faim. Il ne fallait pas croire que si notre fameuse collectionneuse de Pokémon était donc héritière d'une grande famille, donc, pas n'importe qui, si vous voulez mon avis., que cela voulait dire qu'elle n'aimait pas les plats du « peuple » comme on disait. Mais il ne fallait pas oublier que notre chère Sylvia Von Wittelsbach était aussi une adolescente normal de quinze ans, qui aimait la pizza ! Tous les adolescents aimaient les pizzas non ? C'était comme les Hamburgers. C'était apprécié universellement. Tout le monde aimait cela, la Pizza. D'ailleurs, je pense même que les gens qui n'aimaient pas les Pizzas sont enfaîtes des extraterrestre prêt à se battre contre nous. Seuls les Pizzas nous libérons de la mort que les fameux extraterrestre nous préparait ! TONIGHT ! We dine in a Pizzeria. Bon, après ce petage de plomb quelque peu mal placé, reprenons notre sérieux. Ainsi :

- Alors, cette "affaire". C'est pour quoi?

« Alors, c'est très simple. »

Elle se leva, et secoua légèrement ses cheveux rose. Elle rattrapa son grand bâton de mage, et l'utilisa pour faire les cents pas, et marcha tranquillement. Elle semblait avoir du mal à marcher... Cela expliquait peut-être, en vérité, le bâton de marche... En tout cas, elle déclara s'appuyant sur son bâton :

« J'étais tranquillement chez moi, entrain de regarder la Télé, et tout d'un coup, j'ai vu la transmission d'un concours pokémon. Très beau concours. J'ai adoré votre numéro, Monsieur Soulight. C'était impressionnant. Très artisitique. Et j'ai eu les études pour savoir cela. Sauf mon frère, j'pense pas avoir vu mieux. »

La fameuse collectionneuse était dans une période crucial pour la proposition. Celle de la séduction. Séduction ? Bien sur, vous auriez comprit, ce n'est pas de la sélection, comme nous connaissons dans le sens vulgaire et commun du terme. Elle tentait pas que Kamiko tombe amoureuse d'elle. Ce n'était même pas un bon plan, aux yeux roses de la collectionneuse. Elle le regarda tranquillement. Enfaite, je vais vous expliquer. Là, la séduction se rapprochait du « Seductio » Latin, qui voulait dire corrompre. Elle tentait de corrompre; de paraître une petite fille modèle, parfaite, et surtout adorable, pour mieux piéger son adversaire. Elle était un peu un Lupio. Qui portait une forte lumière pour mieux attirer ses proie. Et ainsi, elle avait peu de mal. Mais attention. Prêcher de confiance... C'était le meilleur moyen de foncer droit dans le piège !

« Et j'ai vu que tu avais un magnifique Absol de couleur Noir. C'est extrêmement rare ! J'adorais l'avoir ! Et en temps que collectionneuse, j'te proposerait de l'échanger. »

Et voilà ! Le proposition était tombé. Second secret d'une négociation réussite. Faire tomber la proposition brusquement. Si vous ne faisiez pas comme ça, les zamis, vous n'y arriverez pas. Pourquoi donc ? Pour deux raisons. Premièrement, car si vous tardiez trop, vous énerviez les spectateurs, et surtout, la fameuse personne que tu tentait justement de tenter de convaincre. Mais la seconde raison était presque plus importante. Car elle était là pour justement tenter de surprendre la fameuse personne. Qu'elle soit troubler. Qu'elle frappe plus fort que toute les résistances avaient son interlocuteur !: Et là, c'était parfait. Pourquoi donc, me diriez-vous ? Car troublé, on n'usait donc pas de sa faculté la plus importante, comme l'expliquait le Philosophe Français René Descartes... La raison. Et sans raison, l'échange était bien plus aisé ! Voilà le génie de Sylvia. Mais cela allait-il marcher ? Vous allez vite le savoir !

**Kamiko Soulight** · **Kamiko Soulight**

En effet. J'ai pris cette maison dès que j'ai entendu les chanteurs du coin.

Elle reste dubitative à mes paroles. Elle s'y intéressait, mais trop vaguement. Elle n'était pas venue pour ça et cela se sentait.

- J'espère que la pizza te convient, car je n'ai que cela.

Oui, nous étions à cette partie de la discussion que je menais pour rien, puisqu'elle avait l'intention de toute manière de prendre la tête du débat qui allait suivre.

- Pizza ! Ca me convient parfaitement !

Elle avait hâte, et cela se sentait. C'est à ce moment que je dis :
- Alors, cette "affaire". C'est pour quoi?

Ce à quoi elle répond:
- Alors, c'est très simple.

Sylvia se leva, secoua ses cheveux rose, puis elle repris son bâton pour faire les cents pas, et marcha tranquillement. Elle déclara ainsi:
- J'étais tranquillement chez moi, en train de regarder la Télé, et tout d'un coup, j'ai vu la transmission d'un concours pokémon. Très beau concours. J'ai adoré votre numéro, Monsieur Soulight. C'était impressionnant. Très artisitique. Et j'ai eu les études pour savoir cela. Sauf mon frère, j'pense pas avoir vu mieux ...

... Elle redevenait ce que mon impression me disait. "le mygalos affamé. Elle adressait des compliments histoire de m'adoucir, pour sans aucun doute, me prendre au piège.
C'est une chose qu'elle me confirme en disant:

- ... Et j'ai vu que tu avais un magnifique Absol de couleur Noir. C'est extrêmement rare ! J'adorais l'avoir ! Et en temps que collectionneuse, j'te proposerait de l'échanger.

De? ... D'échanger Dark?
Dark, le pokémon le plus "rare" que je possédait parmi les six pokémon que j'entraînais, sans jamais aucune dissociation ni avec Absolute, sa sœur, ni avec moi, son dresseur. Cette petite jugeait sans doute qu'un dresseur ne pouvait s'occuper d'elle, qu'une collectionneuse -comme elle- s'en occuperait mieux?

Alors que Gardevoir amenait une pizza, je relève un peu ma manche gauche, afin réveler à Sylvia une assez impressionnante blessure qui cicatrisait lentement. La cachant rapidement, je lui dit:
- C'est la blessure que m'a infigé l'un des absol qui en voulaient à Edanem, l'absol noir, qui ne se sépare jamais de Menade, sa soeur blanche. Il y a un an, je ne connaissais des pokémon que ce que l'on m'avait dit sur eux. J'ai affronté cette meute seul, sans aucune aide. Menade et Edanem étant membre du clan malgré les mauvais traitements. C'est finalement qu'une fois bien blessé que le chef de meute s'est décidé à agir pacifiquement.

Vous allez me dire que tout ce discours est bien joli, qu'en plus, cela rajoutait un poids sur le fait que j'étais un peu fou. Mais cela était en fait dans un plan bien rodé. Émouvoir pouvait faire renoncer, et ainsi servir d'argument.
Je poursuit:
- Depuis un an maintenant, Edanem et Menade suivent leurs ultime mission; m'accompagner où que j'aille, même si je cours à ma mort.

Partie deux, exposer la raison pour laquelle, du point de vue du/des pokémon visé, elle ne peut être séparé de moi.
Cependant, il fallait en rajouter une:
- De plus, Le pokémon désastres est mon pokémon de prédilexion. comprenez donc bien qu'il m'es impossible de les échanger, et peu importe avec lequel.

Je lui avait mis sur sa requête plusieurs freins, au moins trois corsés:
- Ma volonté.
- La volonté de Dark.
- La volonté d'Absolute.

suivit de quelques autres qui étaient plus implicites:
- Kamiko étant le protecteur de deux pokémon sauvage au point d'être blessé douloureusement.
- L'ordre du chef de clan.

petit détail, le nom véritable d'Absolute Dark, Menade et Edanem. "Menade" qui révèle en fait dans la mythologie grecque des femmes folles vénérant le dieu du vin. Littéralement "ménade" veut dire "délirer" ou "être furieux"

Plus loin dans mes recherches, M.É.N.A.D.E. et E.D.A.N.É.M. reprises en anagramme pouvait dire D.A.M.N.É.E. ce qui était relativement facile à comprendre au vu de la ferveur avec laquelle elle étaient attaquées. Ce qui m'a le plus interrogé, ce fut de me demander quel Absol dans le clan pouvait savoir tout cela.

Maintenant que mon speech est fini,.on va voir ce que Sylvia va trouver à redire. Il était sans conteste évident que je refuserait un quelconque arrangement. Dark était "mon" pokémon.

**Sylvia Von Wittelsbach** · **Sylvia Von Wittelsbach**

Sylvia était ainsi entrain de marcher, tranquillement, avec son bâton de mage pour l'aider à mieux marcher, et avait tout dit. Elle était presque sur de son coup. Bien sur, elle savait que cela n'allait pas tout de suite marcher, vu qu'elle n'avait rien proposé en échange... Mais cela allait vite arriver. Il fallait d'abords voir comment il allait réagir. Sans cela, cela ne servait à rien de tenter quoique ce soit... Ainsi, elle était prête à savoir déjà comment allait marcher le marchandage. Cela dépendait des gens...! Ainsi, elle regarda le fameux coordinateur, qui s'approcha d'elle. Qu'allait-il tenter ? Elle regardait, et releva sa manche, pour montrer son bras. Elle ne comprit pas de suite, mais elle comprit, en voyant son fameux Bras. Il y avait une très grande cicatrice, qui saignait encore. En bonne petite fille de noble, non habituée à voir du sang, elle porta ses mains à la bouche, n'aimant pas du tout, mais alors pas du tout, la vision du sang, et des blessures en général, et donc écouta :

-C'est la blessure que m'a infigé l'un des absol qui en voulaient à Edanem, l'absol noir, qui ne se sépare jamais de Menade, sa soeur blanche. Il y a un an, je ne connaissais des pokémon que ce que l'on m'avait dit sur eux. J'ai affronté cette meute seul, sans aucune aide. Menade et Edanem étant membre du clan malgré les mauvais traitements. C'est finalement qu'une fois bien blessé que le chef de meute s'est décidé à agir pacifiquement.

Elle écouta... Menade ? Edanem ? C'était quoi ce charabia.... Bon, si elle avait bien comprit, Edenem, c'était l'Absol qu'elle voulait, L'Absol à la fourrure noire... Et donc, elle avait été chassé de son clan d'Absol, il y a fort longtemps... Bien bien. Elle aimait bien connaître l'Histoire des Pokémons qu'elle capturait. Et qu'elle recevait de la part d'autres dresseurs... C'était intéressant, et dans des repas de société, ce que la fameuse collectionneuse craignait fortement, mais dont malheureusement elle devait participer en bonne petite héritière de la famille Von Wittelsbach. Soudainement, le coordinateur reprit :

-Depuis un an maintenant, Edanem et Menade suivent leurs ultime mission; m'accompagner où que j'aille, même si je cours à ma mort.

« C'est complètement stupide. »

Elle le déclara, comme ça, sans aucun tact. Sylvia était connue pour avoir un très fort caractère, et cela n'était pas étonnant de l'entendre dire cela... Elle déclara en effet :

« Les Pokémons sont des vulgaires animaux, des machines sans âmes. Inutile de faire de l'Anthropomorphisme, hein... Les Pokémons ça réfléchit pas. Tant que tu leur donne à manger, que tu les caresse, et puis valà, sont heureux. »

Ah... La théorie des animaux, machines sans âmes.... Un beau ramassis de stupidité, si vous voulez mon avis ! Et pourtant, énoncé par un célèbre philosophe et mathématicien Bien sur, déjà, il fallait croire à l'existence des âmes, et cela, c'était loin d'être prouvé. Déjà Epicure et Lucrère niait l'âme immatériel. Et aujourd'hui, de nombreux scientifiques doutent fort de l'existence d'une âme humaine... Alors, les animaux n'auraient bien pas d'âme, mais les humains pas plus, donc... Mais si on reconnaissait l'existence de l'âme, alors, on ne pouvait pas dire que les Pokémons n'en n'avaient pas... Il avait des sentiments, des comportements, des caractères... Cependant attention ! Il n'était pas doué de conscience, enfin, cela faisait objet de nombreux débats. Bien sur ! S'il était doté de conscience, vous imagineriez l'horreur ! Les Combats pokémons seraient alors des combats d'être conscient... Et oui, cela remettait tout en cause, les amis ! Mais ne nous concentrons pas la dessus, car en effet, le fameux coordinateur déclara quelque chose, que nous ne devons pas laisser de côté, pas du tout les amis :

-De plus, Le pokémon désastres est mon pokémon de prédilexion. comprenez donc bien qu'il m'es impossible de les échanger, et peu importe avec lequel.

« Pfff.... Bien, bien... »

Elle claqua presque des doigts, mais se rendit compte que les deux fameux gorilles qui étaient d'habitude tout le temps là, n'était cependant pas là pour obéir à ses ordres. Après ce mini Fail, elle se dirigea vers la fameuse valise... Mais oui ! Vous vous en souvenez, la petite valise qu'elle transportait. Attrapant en vol un morceau de pizza, sans aucune considération pour la Pokémon qui l'amena, elle commença à manger tranquillement, en attrapant la valise. La pizza était très bonne d'ailleurs, et elle était bien contente de pouvoir en manger. Au contraire, chez elle, elle n'avait pas la chance de pouvoir en manger régulièrement. On ne voulait pas qu'elle grossisse, ou qu'elle s'émancipe. Elle était bien dans une petite cagez doré, la plupart du temps, et elle le savait bien. Mais elle avait ce qu'elle voulait... Donc... Pourquoi exiger plus de liberté ? Cela serait stupide ! Elle était très bien comme ça... Elle déclara en tout cas :

« Je vais vous faire une offre que vous ne pourriez refuser. Avec l'argent contenu dans cette mallette, vous auriez de quoi faire ce que vous voulez. Il y en a suffisament pour tout vos désirs. Donc, la perte d'un petit Pokémons ne vous fera pas pleurer. »

Eheheh. Joli référence Sylvia ! Et cela n'était pas fini dans les références aux Mafieux, vu que la jeune fille tendit alors la valise, la petite valise grise, qu'elle ouvrit devant le fameux coordinateur. Il y avait dedans de nombreux billets, dans la sommes étaient relativement astronomiques, quand on additionnait le tout... Une somme très importante, et entièrement en liquide, ce qui à mon avis, renforçait le côté mafieux de la transaction financière... Mais pourquoi donc entièrement en liquide, vous me demanderiez...? Pour deux raisons. Premièrement, car elle ne pouvait pas sortir sa carte bleue devant le fameux Kamiko, ni même faire un chèque... Elle n'avait que quinze ans ! Et elle n'était pas majeure ! Donc, elle ne pouvait pas utiliser tout cela... Tant pis ! Et le deuxième avantage du liquide, c'est qu'il avait un côté impressionnant. Autant d'argents... Cela nous montait tout de suite à la tête... Sylvia était confiante. Très confiante. Trop confiante.

**Kamiko Soulight** · **Kamiko Soulight**

HRP:

La collectionneuse semblait m'écouter avec attention, mais on pouvait remarquer que petit à petit, son attention dérivait pour ensuite être presque frustrée, la conversation en étaità:

-Depuis un an maintenant, Edanem et Menade suivent leurs ultime mission; m'accompagner où que j'aille, même si je cours à ma mort.

- C'est complètement stupide.

À ces mots, Gardevoir se figea, et même Aircanine arrêta de grignotter sa branche pour jeter un oeil vers la collectionneuse, comme si elle devinait le gout qu'elle pourrait avoir.

- Les Pokémons sont des vulgaires animaux, des machines sans âmes. Inutile de faire de l'Anthropomorphisme, hein... Les Pokémons ça réfléchit pas. Tant que tu leur donne à manger, que tu les caresses, et puis valà, sont heureux.

Là dessus, Aircanine grogna, sans dire un mot. En même temps, elle était trop loin pour dire quoi que ce soit. Mais Gardevoir, elle, s'avanca:

- Et qu'est ce que vous en savez? L'un d'entre vous est il devenu un pokémon, pour revenir ensuite en tant qu'humain et vous dire cela?
Certes, il y en a un qui a réussi, dans le Kanto, un certain Léo. Mais il n'en a pas tiré de conclusion.

Devant la mine sans doute surprise (ou emerveillée?), je lui dit:
- Les pokémon peuvent parler quand ils sont assez près de ce que j'ai en permanence à l'oreille. Moi, j'ai l'habitude, mais...

Puis la conversation continua:

-De plus, Le pokémon désastre est mon pokémon de prédilexion. comprenez donc bien qu'il m'es impossible de les échanger, et peu importe avec lequel.

Elle y répondit avec un certain dédain:

- Pfff.... Bien, bien...

Elle s'approcha cette fois de sa valise, s'en empara, puis reviens en disant:

- Je vais vous faire une offre que vous ne pourriez refuser. Avec l'argent contenu dans cette mallette, vous auriez de quoi faire ce que vous voulez. Il y en a suffisament pour tout vos désirs. Donc, la perte d'un petit Pokémons ne vous fera pas pleurer.

Elle ouvrit sa valise, qui contenait effectivement bien des liasses et des liasses de pokédollar (£), suffisament sans doute pour laisser le Win for Live pour un stupide jeu à gratter.

Mais, cette fois, c'était à moi d'avoir la main... De plus, elle était encore peu habituée au fait que les pokémon parlent, du moins en ma présence. Je me contente de dire d'une voix tout à fait neutre:
- Dark.

L'Absol Noir sortit de sa pokéball immédiatement, pour regarder un instant la collectionneuse, puis moi, et encore elle. Je lui dis:
- On souhaite t'acheter...

Dark tourna la tête de coté, signe qu'elle n'avait pas compris ce qui se tramait:
- Pardon?

Gardevoir lui répond:
- La ... demoiselle... souhaite te posséder, et la, elle... S'éloignant quelque peu, elle dit en tant que pokémon.
- Gardevoir gar voir devoir. (elle tente de corrompre kami avec beaucoup de papier vert.)

- Je vais être brève, humaine. Connais-tu le poids qu'est une malédiction? Si non, tu ne devrait même pas songer à posséder ne serait-ce que le plus faible des Désastres.

Paroles profonde... Qui nécessite grande réflexion, si on veut l'avis de Kamiko, mais ici, la remarque était pour Sylvia.

- L'argent n'est pas pour moi important. Tout dresseur devrait aspirer à l'amitié de ses pokémon, et non pas se servir d'eux pour un but personnel. De plus, je suis déjà d'une famille aisée, de l'argent, j'en ai à la pelle.

La discussion allait stagner pendant un moment, car non seulement les deux parties n'avaient pas le même point de vue, mais en plus aucun ne voulaient céder...

Qu'allait faire désormais Sylvia?

**Sylvia Von Wittelsbach** · **Sylvia Von Wittelsbach**

Sylvia s'était réinstallé sur le canapé, les jambes croisés, mangeant sa pizza d'un air insouciante, et tout permis. La fameuse collectionneuse de pokémon, comme on dit, se permettait. Elle n'avait aucune honte à paraître totalement et absolument dominatrice. La maison de Kamiko était presque à ses yeux comme chez elle, et elle n'allait pas se gêner pour prendre le plus ses aises. Quel sale gamine. Elle ne se gênait aucunement pour squatter les gens. Après tout... Elle en avait le pouvoir et le droit. N'était-elle pas Sylvia Von Wittelsbach ? Quatrième héritière de l'une des familles les plus puissante de la région d'Hoenn, voir carrément du monde ? Elle se permettait donc beaucoup. Énormément... Trop même, si vous voulez mon avis ! Mais c'était comme ça que Sylvia marchait ! Ainsi, la jeune collectionneuse aux cheveux roses étaient tranquillement avachie sur le fauteuil, sans plus de classe. Et oui. Elle était comme ça.

Elle n'écouta ce que déclara la fameuse Gardevoir uniquement d'une oreille. Elle savait, ou du moins, elle pensait vraiment que cela n'était que du pur trucage. Les Pokémons pourraient parler ? Pff... Elle avait passé l'âge. Elle avait 15 ans maintenant. Elle était grande. Les pokémons parlant, les humains qui étaient enfaîte des lutins, le Père Noël etc... Tout cela n'était que des légendes et des mythes pour gamins...! Bon. Elle avait raisons, cela était peut-être un peu exagéré, dans le cas très rares des Pokémons Psy. En effet, il était vrai que les Pokémons psys étaient plus intelligent, et sans doute doté de conscience. D'accord. Là, en effet, elle était peut-être dans le tord. Elle rendit alors un peu plus de considération à ses déclarations. Un humain transformé en pokémon...? Bon, d'accord, on n'allait rien dire. Cette pokémon était définitivement stupide. Elle croyait donc en ses légendes farfelues sur Léo. Il était collectionneur. Comme elle. Il voulait l'attention. C'était tout. Il avait menti, pour Sylvia.

- Dark. On souhaite t'acheter...
- Pardon?
-La ... demoiselle... souhaite te posséder, et la, elle...

« Et bien ? Tes talents de ventriloques s'amenuisent, Monsieur Soulight »

Elle commençait à peu à peu s'énerver, et sortait les répliques piquantes. Elle en effet avait remarqué les Pokémons s'étaient éloigné, et avait reprit une discussion dans un langage qu'elle ne connaissait pas, celui des Pokémons visiblement. Ainsi, la collectionneuse venait presque de dire ouvertement au fameux coordinateur unyséen, enfin, venant d'un endroit bizarre, dont Sylvia doutait fort qu'il vienne vraiment d'un monde civilisé, qu'il était entrain de tout inventer; Les pokémons parlaient ? Alors pourquoi on ferait des combats avec eux ? Pourquoi ce ne seraient pas eux qui nous utiliserait pour combattre s'il était aussi intelligent...? Bien sur, Sylvia se disait ça pour une réelle raison. C'est que si les Pokémons étaient réellement capable de parler... Ce qu'elle faisait... Cela serait totalement inhumain. Elle ferait la collection d'être conscient...! Bref, Sylvia préférait masquer cela de son imagination, et écouter ce qu'on lui déclara juste après :

- Je vais être brève, humaine. Connais-tu le poids qu'est une malédiction? Si non, tu ne devrait même pas songer à posséder ne serait-ce que le plus faible des Désastres.

« Je suis Sylvia Von Wittelsbach. »

Quoi ? Hein ? On pouvait dire que la jeune fille n'avait pas été très explicite de suite sur sa condition. Pourtant elle avait toute une réflexion derrière, et elle ne voulait pas dire tout de suite. Faire durer un peu le suspense... Bref, s'amuser un peu avant de tout déclarer. Elle était comme ça, la fameuse Sylvia. Elle n'aimait pas tout dire, et préférait parfois attendre avant d'aller droite au but. Autant, comme cela n'était pas son objectif, c'est à dire avoir la fameuse Absol noir, elle pouvait très bien attendre un peu. Surtout, aussi, elle cherchait un peu ses mots. Elle avait du mal à se faire exactement comprendre, vu ce qu'elle disait. C'est pour cela qu'après une pas si long blanc, elle déclara finalement :

« Ma naissance est en elle-même une malédiction. Je suis condamné à n'être que « La fille des Von Wittelsbach ». ou... « La génie de la collection. ». En quoi aurait-je peur d'un pokémon qu'un... Mythe, dirait qu'il porte malheur ? »

Et oui, Sylvia avait beaucoup de mal à le dire, beaucoup de mal. En effet, elle était après tout une petite fille de riche. Une héritière d'un empire financier... Mais vraiment ? Non, elle n'était que la quatrième d'un empire déjà très convoité par les ambitions de chaqu'un des jeunes enfants des Von Wittelsbach. De sa place... Elle n'était rien. Qu'un détail aux yeux de ses parents... Donc, elle n'avait pas reçu de véritable chaleur familiale. Comme beaucoup d'enfants de cette catégorie social, d'ailleurs, bien que cela n'était ni une règle, ni une coutume chez les bourgeois, aristocrates, ou autres membres haut gradés de la hiérarchie social. Ainsi, le seul moyen qu'elle avait trouvé pour « réussir » sa vie, était la capture de pokémon. Et si cela la plaisait, cela la plaisait autant que cela était une véritable malédiction pour elle. Un paradoxe ambulant... Comme toute personne humaine, au final. N'est-ce pas ?

- L'argent n'est pas pour moi important. Tout dresseur devrait aspirer à l'amitié de ses pokémon, et non pas se servir d'eux pour un but personnel. De plus, je suis déjà d'une famille aisée, de l'argent, j'en ai à la pelle.

« Que quoi ? »

Sylvia fut choquée. Dans sa culture, dans ce qu'on l'a inculpé depuis sa naissance, « l'amour » ou du moins le respect de l'argent faisait partit des notions « cultes » et très importante. Elle savait que même le plus pur des Hommes perdaient ses moyens devant autant d'argents... Mais là... Évidemment, cela n'était pas le cas. Juste quand ça lui pouvait être utile ! Rah ! Elle fulminait sur place !

« Je ne perds jamais ! J'aurais ce fameux « Dark » ! En plus, c'est quoi ce nom pourri et pas original pour deux balles ? Ce Pokémon rare est pour moi ! »

Sylvia était une fille têtue, et qui estimait qu'elle arrivait toujours à avoir ce qu'elle voulait. Et quand je dis toujours, c'est bel et bien toujours. Enfin, pour le moment. Certes, elle avait échoué pour l'Aquali de Kakashi, mais dans un sens, elle ne le voulait pas absolument. Elle l'aurait bien voulu. Mais pour le Absol, là, elle le voulait absolument. Et elle allait tout faire pour l'avoir. Qu'est-ce que pourrais faire ce fameux Kamiko Soulight ? A une aussi grande famille que la famille des Von Wittelsbach. Rien du tout. Sylvia pourrait alors sortir son éventail et rire longuement en regardant la mine déconfite de Kamiko. Elle l'aurait écrasé. Bon, et oui... Comme toujours, notre chère Sylvia était totalement entrain de délirer. Il fallait pas chercher. Un délire de petite fille, qui était sûre de gagner le jeu concours dont le premier prix était une énorme peluche d'Absol noir. Sauf que pour tout cela... il fallait mettre tout cela... Dans la réalité !

**Kamiko Soulight** · **Kamiko Soulight**

HRP:

Leo, le pokémaniac, mais aussi un génie qui devrait faire de sacrée merveilles s'il croisait Link kevin, si vous voulez mon avis. Gardevoir l'avait cité certes, car l'on avait appris via le journal dans la rubrique de chiens écrasés qu'il avait inventé une machique et qu'en la testant il était dans le corps d'un ratata.

Toutefois, Sylvia, que je pensais surprise, ne l'était pas. Toutefois, lors de ce passage:

- Dark. On souhaite t'acheter...
- Pardon?
-La ... demoiselle... souhaite te posséder, et la, elle...

Elle trouva le moyen de dire:
- Et bien ? Tes talents de ventriloque s'amenuisent, Monsieur Soulight

Hmm? ventriloque?
- Les choses les plus amusantes nécessitent beaucoup de contraintes et d'effets secondaires. c'est comme les lotions, les maquillages ou les grandes responsabilités. Ici, mon émetteur est à très courte portée, à peine dix mètres.

Le fait que les pokémon parlent et ont une conscience est pour moi une réalité; Toutefois, si l'on interroge les pokémon, comme j'en ai l'agréable loisir, on pet se rendre compte qu'après un temps de peur, les pokémon finissent par se dire que même s'ils sont blessés, ils sont vite soigné après. Et puis, il existe aussi sans doute un phénomène bien connu en captivité: le syndrome de Stockholm. syndrome de victime captive qui fini par "aimer" son geolier.

Toutefois, dark continuait:
- Je vais être brève, humaine. Connais-tu le poids qu'est une malédiction? Si non, tu ne devrait même pas songer à posséder ne serait-ce que le plus faible des Désastres.

- Je suis Sylvia Von Wittelsbach.

Quelques instant plus tard, elle repris:
- Ma naissance est en elle-même une malédiction. Je suis condamné à n'être que « La fille des Von Wittelsbach ». ou... « La génie de la collection. ». En quoi aurait-je peur d'un pokémon qu'un... Mythe, dirait qu'il porte malheur ?

Là dessus, seul Dark plissa les yeux, et cela suffit à jeter un froid dans la pièce. Lazer Glace étant dans ses attaques, je redoutais le pire, cependant, elle répliqua:

- Je ne te parle point des moeurs humains qui consiste à recevoir un titre de ses géniteurs. Cette "malédiction" là,tu peux simplement la renier.

Que se passerait-il à ta personne si tu te levais chaque matin en ayant en tête les météo les plus chaotique, les lieux précis, le nombre de morts et les ravages?

- L'argent n'est pas pour moi important. Tout dresseur devrait aspirer à l'amitié de ses pokémon, et non pas se servir d'eux pour un but personnel. De plus, je suis déjà d'une famille aisée, de l'argent, j'en ai à la pelle.

- Que quoi ?

C'est à ce moment qu'elle me regarda comme un alien. il est vrai qu'en ce monde, celui qui rejette l'argent n'est pas super "normal". Le truc, c'est qu'ici, même sans argent, on peut toujours survivre, et cela, je le savais, même si je n'ai pas eu recours à une telle extremité bien longtemps.

- Je ne perds jamais ! J'aurais ce fameux « Dark » ! En plus, c'est quoi ce nom pourri et pas original pour deux balles ? Ce Pokémon rare est pour moi !

C'est à cela que je répond en faisant sortir Absolute. L'absol blanc dardait ses yeux bleus sur la fille qu'elle avait en face, avant de grommeler entre ses dents. Je dis à Sylvia

- Mes deux absol s'appèlent respectivement Absolute Dark, "sombre absolu". Dark évoquant le sombre allait très bien à un Absol noir.
Certes, j'aurais pu la surnommer darkness, qui signifie ténèbres, mais du coup, absolute perdait de sa classe.
- Et j'y tiens!
- Certes.

Je me demande comment elle peut encore penser que je fais le ventriloque en ayant des voix de femmes et en gardant le bouche fermée, mais c'est une autre histoire et cela, je ne vais pas m'égarer dessus. Je me contente de rajouter:
- Pour vous apprendre une chose, la vie n'est pas un jeu. Dans un jeu, un VIP à plus de privilèges, mais ici, d'autant plus dans cette pièce, non.

Aircanine machonnait son baton, assise dans son coin, toujours rêveuse en imaginant le goût qu'aurait l'humaine bien cuite. Gardevoir s'affairait à éteindre le four et autres de la cuisine tout en jetant un oeil au salon. Absolute et Dark, elles, regardaient la collectionneuse en restant à mes cotés. On pouvais sentir dans l'air une tension parfois glacée, parfois électrique qui provenait uniquement des deux absol. Si Sylvia réagissait trop mal, elles n'hésiteraient pas à lui envoyer leurs attaque spéciales.

**Sylvia Von Wittelsbach** · **Sylvia Von Wittelsbach**

Spoiler:

Sylvia regardait en croisant les jambes ce fameux Kamiko. Pour elle, il avait vraiment l'air d'un gamin qui tenait à ses jouets... Tss... Elle lui proposait énormément, et boom, lui, il pignait car il voulait garder un vulgaire pokémons qui n'avait aucun intérêt concret... Elle gâchait son potentiel ! C'était un pokémon extrêmement rare ! A ses yeux, c'était un crime, oui. Un crime, de le garder juste pour faire des concours. Certes, elle aimait bien les concours, c'était agréable à voir... Mais quand même ! Penser qu'un pokémon si rare était qu'un joujou pour des concours... Et puis, ce n'était pas elle ! Donc, elle ne supportait pas du tout ! Et oui. Certes Kamiko était gamin à ses yeux, mais celle qui était entrain de pêter un cable car elle n'avait pas ce qu'elle voulait, c'était bien la petite héritière des Von Wittelsbach. Soudainement, l'Absol tant convoité par la fameuse collectionneuse de Pokémon lui déclara

- Je ne te parle point des moeurs humains qui consiste à recevoir un titre de ses géniteurs. Cette "malédiction" là,tu peux simplement la renier.

Que se passerait-il à ta personne si tu te levais chaque matin en ayant en tête les météo les plus chaotique, les lieux précis, le nombre de morts et les ravages?

« Ahahahah ! »

Elle fut prise d'un fou rire. Cela n'était pas très sympathique de sa part, n'est-ce pas ? Ouais, on pouvait dire que le fait d'être une fille de riche... Ce qu'elle était, là, on ne pouvait nullement nié, elle l'était à cent pour cent, aussi bien dans les faits, étant effectivement très riche par sa naissance, mais aussi dans le comportement, car elle se comportait là en quelqu'un de condescendant, qui méprisait les autres ! En même temps, elle n'allait pas en parler, mais « Dark », ainsi, ne connaissait strictement rien, mais alors rien du tout en la vie d'une personne... Renier sa nature ? Le titre que ses parents lui donnaient ? Impossible. C'était impossible. Il n'y avait que dans les films que les gens pouvaient. Retourner une seconde dans la réalité. On ne pouvait pas être héritier d'une grande famille, une famille puissante, et dire du jour au lendemain « J'me casse ! ». C'était totalement irréaliste. Totalement irréaliste. Mais elle décida de mettre cela sous veilleuse, et déclara plutôt, par rapport à ses « Malédictions. »

« Des croyances de petites filles ! Je ne crois pas qu'un pokémon puisse faire tout cela. Et après tout, j'vois que ton maître est globalement en assez bonne état. T'es capable de désactiver ta malédiction ? Genre... »

Elle fut de nouveau prise d'un petit rire nerveux, en pensait à ce qu'elle allait faire, et finalement, déclara, en mimant quelqu'un qui était entrain de jouer avec un interrupteur.

« ON. OFF. ON. OFF. ON ! Un piano qui tombe sur la tête ! OFF ! POUF ! Plus rien ! »

Sylvia était moderne. Elle était une enfant du XXI siècle. Elle avait été bercé par sa gouvernante, et sa nourice de tout les comtes d'enfants, ou les citrouilles pouvaient devenir des Carrosses, les sorcières pouvaient devenir des dragons avant de se faire tuer, un baiser pouvait réveiller les princesse endormie depuis cent ans, les chaussures pouvaient être en verre, et enfin, les loups, une fois éventrés, laissaient sortir les petites filles et leur grands-mères, qui n'avaient pas été assez prudente. Aujourd'hui... elle ne croyait pas en le surnaturel. Pour elle, par exemple, les Pokémons légendaires n'étaient que des Pokémons plus rares et plus puissants que les autres... Donc, au final... Un mythe qui dirait que les Absols porteraient malheur... Non, c'est bon. Arrêtez de tenter de faire peur aux petites filles. Cela était ridicule aux yeux de la collectionneuse, qui n'y croyait pas une seconde. Mais alors, quand j'dis pas une seconde, c'est pas une seconde du tout.

- Mes deux absol s'appèlent respectivement Absolute Dark, "sombre absolu". Dark évoquant le sombre allait très bien à un Absol noir.
Certes, j'aurais pu la surnommer darkness, qui signifie ténèbres, mais du coup, absolute perdait de sa classe.
- Et j'y tiens!
- Certes.

« Ouais. S'tu veux. Mais c'est pourri. T'aurais pu l'appeller... J'sais pas... « Völliger Dunkelheit ». Ca veux dire la même chose dans ma langue natal. Et c'est cinq cent fois plus classe. »

Sylvia avait sa notion bien particulière de la « classe ». Mais bon, fallait la pardonner. Dans un sens, là, elle avait le droit, j'trouve. Car elle avait entièrement raison. Sérieux... Dark quoi ! Le nom qui était sans doute déjà présent sous 178 formes ! Au moins... En allemand, c'était cinq cents fois plus classe ! Vous ne trouvez pas ? Au moins, c'était original... En plus, imaginez la classe juste avant un concours... « Volliger ! » « Dunkelheit ! »...! Trop trop la classe. Soudainement, le fameux Kamiko Soulight déclara pour faire comprendre, visiblement, une fois pour toute son refus total et absolu :

- Pour vous apprendre une chose, la vie n'est pas un jeu. Dans un jeu, un VIP à plus de privilèges, mais ici, d'autant plus dans cette pièce, non.

« Toi ! T'as pas comprit quelques chose ! »

Elle pointa du doigt, toujours installé dans le canapé de Kamiko, pour déclarer finalement :

« Quand je veux quelque chose... Je l'ai ! S'il le faut, j'te le prendre de force ce Pokémon ! Je l'aurais comprit !! »

Elle était entrain d'hurler, et son énervement la faisait mentir. En vrai, elle ne pourrait jamais forcer quelqu'un à lui donner son pokémon. Elle n'était pas comme ça, l'héritière des Von Wittelsbach. Le problème, c'est que son énervement, exactement celui d'une petite fille capricieuse, faisait qu'elle disait... N'importe quoi. Et là, le quiproquo risquait de devenir, si vous voulez mon avis, amusant. Car là, Sylvia avait vraiment l'air totalement machiavelienne, et considérant que la fin justifiait amplement les moyens... Et donc, qu'elle serait prête à même voler, ou forcer le fameux Kamiko à lui donner. Non, en vrai, elle en était totalement incapable. Mais comme elle en avait l'air capable... Elle risquait bien de faire croire à Kamiko qu'elle allait tout faire pour avoir ce pokémon... Et cela... Cela risquait de provoquer des scènes forts cocasse, si vous voulez mon avis ! Quoi ? Je suis un monstre de dire cela comme ça ? Peut-être bien !

**Kamiko Soulight** · **Kamiko Soulight**

- Je ne te parle point des moeurs humains qui consiste à recevoir un titre de ses géniteurs. Cette "malédiction" là,tu peux simplement la renier.

Que se passerait-il à ta personne si tu te levais chaque matin en ayant en tête les météo les plus chaotique, les lieux précis, le nombre de morts et les ravages?

Ce que venait de dire Dark était remplie de sens profond qui ne semblait même pas sondable, mais Sylvia se contenta d'en rire:
- Ahahahah !

Elle ne semlait pascroire que c'était possible de quitter le domicile familial d'un claquement de doigt. Et pourtant... Si elle savait que Kamiko sortait d'un système similaire, et que lui était justement parti en disant "j'me casse!" et en emportant en prime des objet rares et cher à la revente, dont même l'épée familialle qui pourtant ne lui servait strictement à rien. Kamiko, lui l'avait fait, mais il ne pensait pas que c'était moins probable pour d'autre. Après tout, c'est notre vie, non? On à le droit de décider de sa vie.

- Des croyances de petites filles ! Je ne crois pas qu'un pokémon puisse faire tout cela. Et après tout, j'vois que ton maître est globalement en assez bonne état. T'es capable de désactiver ta malédiction ? Genre...
ON. OFF. ON. OFF. ON ! Un piano qui tombe sur la tête ! OFF ! POUF ! Plus rien !

...

Toujours très calme, Dark ne réagit pas, même si elle bouillonnait intérieurement. Elle avait de la chance, Sylvia, elle parlait à Dark. Si elle parlait à Absolute, elle serait déjà grillée avec un Fatal Foudre. Ici, Absolute non plus n'avait réagit, sans doute parce que la remarque nelui était pas adressée.
Toujours est-il, je répond calmement:
- La malédiction d'Absol ne touche qu'absol. Quand à moi, ma propre "malediction" qui est très similaire à la tienne, je l'ai combattue. Sans quoi, tu n'aurais jamais vu ni Absolute ni Dark ailleurs que sur la route 120, puisque je n'aurais jamais quitté les affres de la famille Soulight.

Puis, venait la conversation sur les noms.

- Ouais. S'tu veux. Mais c'est pourri. T'aurais pu l'appeller... J'sais pas... « Völliger Dunkelheit ». Ca veux dire la même chose dans ma langue natal. Et c'est cinq cent fois plus classe.
- Nous n'avons pas la même définition du mot classe.

Puis, viens le moment où la discussion tournait au vinaigre. La vie n'est pas un jeu. Dure réalité qu'elle se refusait:
- Toi ! T'as pas comprit quelques chose ! [/b]

Elle me pointa du doigt, toujours installé dans le canapé de Kamiko, pour déclarer finalement :
- Quand je veux quelque chose... Je l'ai ! S'il le faut, j'te le prendre de force ce Pokémon ! Je l'aurais comprit !!
- Essaie. Mais ne viens pas te plaindre si tu te blesses. je ne pense pas que ni elle, ni sa soeur, si aucun pokémon ici présent ne consentirais à te suivre ou t'aider.

Preuve en est: Gardevoir regardait le salon en retenant son attaque Onde de Choc. Aircanine avait abandonné sa branche pour se lever, prête à bondir. Enfin, Absolute et Dark, toute deux prête à lancer leur attaques spéciales individuelle sur Sylvia, ou environs.
Moi, en revanche, je prenais tranquilement une part de pizza. La petite communeauté de pokémon, qui n'était pas au complet, que Kamiko avait réuni en ce lieu agissait comme un seul être, et kamiko, lui, ne considérait en rien leurs agissement comme répréhensible en ce moment...
- Tu veux toujours essayer?

N'oublions pas que les gardes du corps étaient juste derrière la porte, à regarder à travers la fenêtre. Ils n'allaient pas tarder à intervenir vu la réaction des pokémon qui ne leurs avaient pas échappés...

**Sylvia Von Wittelsbach** · **Sylvia Von Wittelsbach**

Sylvia ainsi attendait. Elle voulait vraiment son absol.. Elle était de nature orgueilleuse, vous avez commencé à comprendre... Et quand elle voulait un Pokémon, surtout un Pokémon aussi rare... Elle ferait tout pour l'avoir ! Un Absol noir... Il n'y en n'avait sans doute pas deux dans le monde... Rah ! Il en avait déjà un, et puis, il n'était même pas collectionneur, lui... Pourquoi, mais au grand pourquoi il tenait tant ?! Avec l'argent qu'elle proposait, il aurait largement de quoi se reprendre un Absol... Et lui refaire l'entrainement ! Roh, c'était bon ! Cela ne serait pas si dure ! Sérieusement ! Le collectionneuse pensait qu'il y avait bien plus dur ! Bon, bref, la fameuse Collectionneuse écouta alors, un peu déçue que l'Absol soit restée totalement calme, après ses petites moqueries amplement merité sur les « Malédictions »...

- La malédiction d'Absol ne touche qu'absol. Quand à moi, ma propre "malediction" qui est très similaire à la tienne, je l'ai combattue. Sans quoi, tu n'aurais jamais vu ni Absolute ni Dark ailleurs que sur la route 120, puisque je n'aurais jamais quitté les affres de la famille Soulight.

« Tu as donc condamné ta famille...? Ahah ! J'vois... Enfaîte... »

Et oui... Quand l'héritier mâle d'une famille quittait le logement... Cela voulait dire donc qu'il mettait alors son nom dans la boue ! Comment osait-il encore le porter ! Cela était indigne... S'il n'y avait une chose que Sylvia ne supportait pas, c'était les gens qui crachait sur leur honneur... Comment pouvait-il accepter cela ?! Sylvia restait toujours caractériel sur ce genre de chose, dur qu'elle ne s'énerve pas ! La fameuse collectionneuse de Pokémon regardait alors avec un grand sourire le fameux Kamiko... D'ailleurs, elle devait uniquement dire Kamiko, pour faire comprendre qu'il n'avait normalement plus le droit de l'utiliser, ce fameux nom... En tout cas, elle déclara avec le plus grand sourire innocent, amusé à moitié :

« Tu es encore plus égoïste que moi...! Je croyais pas cela possible...! »

Et oui... Aux yeux de Sylvia Von Wittlesbach... Kamiko était un criminel. Un vrai de vrai... Il était égoïste. Il avait abandonné toute sa famille pour son petit confort de coordination... Cela était trop mignon... Mais criminel aux yeux de Sylvia. Quand on naissait dans une grande famille, il fallait accepter les inconvénients et les avantages... Si elle avait bien comprit, il usait toujours du porte monnaie familiale...? Quel criminel... Un déchet. Il dégoûtait Sylvia... Elle avait l'impression de se voir dans un miroir... Et c'était cela le pire...! Elle n'aimait pas du tout cela... Bref, Sylvia était dégoûtée, mais véritablement dégoûtée par cette homme. Elle voyait en lui... Une version libre d'elle... Ce qu'elle n'avait pas réussi... Il était un coordinateur accomplie... Elle était une collectionneuse accomplie... Sauf qu'il était libre, elle était un oiseau en cage... C'était... Insupportable...!

- Essaie. Mais ne viens pas te plaindre si tu te blesses. je ne pense pas que ni elle, ni sa soeur, si aucun pokémon ici présent ne consentirais à te suivre ou t'aider.

Sylvia était mal à l'aise... Elle était véritablement seule contre tous. Les pokémons la visaient. Elle faisait quoique ce soit, elle se faisait griller... Allait-elle... Non... Allait-elle véritablement connaître... L'echec...? Non... Elle ne voulait pas ! Elle n'allait pas échouer ! Jamais Sylvia Von Wittelsbach n'abandonnerait !

- Tu veux toujours essayer?

« Ne bougez pas, messieurs. »

Sylvia fit le signe aux gardes du corps, qui ne comprenait pas... A quoi jouait-elle ? Elle faisait sa fière, comme toujours...? Cela sonnait mal... A quoi elle jouait ? Impossible de savoir avec la collectionneuse, vu qu'elle pouvait toujours changer d'avis au dernier moment, où être entrain de faire un plan rigoureux pour obtenir ses fins... Les deux étaient tout autant possible. Elle pouvait très bien être entrain de faire un véritable plan, totalement réfléchi, en bonne chasseuse de Pokémon, et en bonne stratège... Comme elle pouvait être juste entrain de faire un gros caprice, et ainsi, être inapte à se protéger, quoiqu'il arriverait... Ne sachant pas quoi faire pour le moment, il ne faisait que regarder la collectionneuse, espérant qu'elle avait un plan.

« Sache que je suis Sylvia Von Wittelsbach. Perpétuant le péché de l'Orgueil...! Je refuse ton comportement, Soulight ! Tu es indigne de ta personne ! J'ai toujours ce que je veux. Attaque moi, si tu l'oses... Après tout... Si cela peux me divertir un tant soit peu... Je n'y vois d'inconveniant... »

Sylvia attendait... Elle était prête à se prendre les coups. Pour montrer à Kamiko qu'elle était prête à tout faire pour avoir ce qu'elle voulait ! Sylvia était comme ça, elle faisait toujours ce qu'elle voulait, et obtenait ce qu'elle voulait. Mais soudainement... Elle se fit attraper par ses deux gardes du corps, qui venait d'entrer dans la salle...!

« Kya ! Mais... On se reverra ! »

Les deux gardes du corps, sortirent alors, sans laisser le temps à Sylvia de parler plus... Quand même ! La jeune fille avait été folle là, cela était beaucoup trop dangereux ! Elle devait faire absolument plus attention à sa personne ! Rah... Impossible de bien s'occuper d'une fillette aussi capricieuse et orgueilleuse ! Cela n'était pas une sinécure, loin de là ! Ainsi, la fameuse collectionneuse de Pokémon était furieuse... On avait osé ! Ils avaient osé ! Ils allaient se prendre un sacré savoir, une fois de retour dans le manoir familiale. Là, elle était trop occupée à bouder... Car en effet, d'un côté, elle était soulagé. Son honneur était sauf. Elle n'avait pas eu d'autres choix que de partir. On ne lui avait pas laissé le choix. Ainsi, même si elle n'avait pas l'Absol, ce qui lui restait en travers de la gorge, elle avait au moins son honneur de sauf... Ce qui était le plus important ! Mais si elle allait mettre longtemps avant de digérer cette echec...!

[Hrp : Cela semblait le plus logique, et comme tu semblais pas du tout chaud à attaquer la collectionneuse... (Cela fait deux tours que je l'aurais fais perso xD) Pauvre Sylvia ! Fait attention à toi Kami, elle voudra te revoir la Sylvia '^' ! En tout cas, Fin pour moi, mais hate de lire ton post de conclusion !]

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